@Jean Dugenêt

Une science est une langue bien fait.
Confondre sous le mot révolution trois phénomènes est le plus sûr moyen de ne rien comprendre et de ne pas distinguer des périodes historiques qui sont antinomiques. Donc de de se tromper et d’échouer.
Ce que vous labelliser révolution suppose la réalisation de 3 évènements : et d’1 critère de validation :
— une révolte populaire,
— puis un coup d’État,
— puis une transformation rapide des institutions,
— et que cette transformation soit dans le sens social (i.e. bénéfique pour le peuple à moyen terme).
On retrouve dans la « Liste ds révolutions et de révoltes » une liste des révoltes populaires. 
Il y a une autre liste des coups d’État où ne figurent ni lla Glorieuse révolution, ni la Révolution française.
C’est un parti pris idéologique qui oppose les révolutions (bonnes) et les coups d’état (mauvais), l’un excluant l’autre. Or il y a bien eu des coups d’état, puisque le pouvoir légal a été renversé par la violence pour mettre en place un autre pouvoir. Guillaume d’Orange, de la famille calviniste des statouders de Holllande a pris la place de Charles Stuart. La banque de hollande a payé une armée de mercenaires qui sont allés en Angleterre pour renverser le roi et mettre Guillaume d’Orange à la place. La banque d’Angleterre a alors été créée sur le même modèle et un des premiers décrets de Cromwell a été d’annuler l’ordonnance royale qui avait banni au XIIIe siècle les Juifs d’Angleterre. Une seconde chambre a été ajoutée au Parlement pour représenter la bourgeoisie, la Chambre des communes. 
En 1789, Philippe Églalité, ci-devant duc d’Orléans richissime et anglophile, qui siégeait parmi les Jacobins les plus radicaux de la Montagne, a organisé le procès du roi et voté sa mort, pour instaurer une monarchie constitutionnelle sur le modèle anglais, c’est-à-dire le pouvoir de la bourgeoisie financière, commerçante et manufacturière. Pas de chance, il y a eu un coup d’État qui l’a fait guillotiner et qui a pris le pouvoir pour faire une république bougeoise sur le modèle de celle de Calvin à Genève.
S’agit-il de révolutions ?
La Déclaration des droits de l’homme et d citoyen de 1789 prévoyait l’égalité d’accès de tous les citoyens à tous les emplois publics. C’est de là que vient notre principe de liberté. Pour la bourgeoisie, il s’agisait de pouvoir occuper les emplois dévolus à la Noblesse, autrement dit de prendre sa place. et de concentrer le pouvoir politique en plus de son pouvoir spécifique qui était sous l’Ancien Régimme le pouvoir économique (dont étaient exclu les nobles qui avaient interdiction de faire du commerce et de cultiver les terres à leur propre compte, ils devaient les concéder).
Il y a bien eu des concours organisés pour accéder aux emplois publics, ce qui existait déjà sous l’Ancien Régime, mais avec une cooptation qui s’est maintenue. 
L’idée d’égalité d’accès de chaque individu à tous les emplois, en particulier les emplois les plus prestigieux et les plus rémunérateurs est une utopie complète. 99 % de la population ne peut pas devenir ministre ou sénateur, ou patron d’une entreprise du CAC40. Tout ce qu’elle a créé, c’est l’arrivisme, et d’aigres ressentiments. Il vaut mieux être un bon maçon qui est considéré et fier de son ouvrage, qu’un cadre administratif et commercial déraciné dans l’anonymat.
Un fils d’éleveur ou de marin pêcheur ou de menuisier doit aspirer à continuer l’oeuvre de son père et à faire mieux, pas à quiier son milieu pour devenir bureaucrate dans une banque ou un ministère. Les professions snt arrivée en France à un grand degré de pefection parce qu’elles ont été exercées par ds dynasities qui les ont améliorées pendant plusieurs générations. Une vie est trop courte pour influencer en bin et en profondeur un métier, l’expérience est cumulative.