re-bonsoir, étant bien partie sur mon ordi, je vais donc continuer. Savez-vous ce qu’est le « bistournage » oui encore un truc tordu pour faire souffrir l’animal, donc bonne lecture :
depuis 1998 la Fondation ligue française des droits de l’animal attire l’attention du ministère de l’agriculture des préfets du gard des bouches-du-rhône de l’hérault et du vaucluse ainsi que les parlementaires européens sur une pratique traditionnelle de la camargue ’(encore 1)et particulièrement cruelle « le bistournage » des taureaux cocardiers. Ce sont des taureaux des courses camarguaises qui se déroulent dans les arènes avec des règles strictes. Il faut enlever quelques brins de laine entrelacés autour des cornes des taureaux. Contrairement à ce qui se passe dans les corridas espagnoles ou portugaises qui consiste à torturer u animal en public les taureaux cocardiers ne doivent subir pendant la « course » aucun mauvais traitement volontaire et ne doivent pas être blessés.Là ce sont les taureaux qui sont considérés comme des « vedettes ». L’élevage de ces taureaux comportent des pratiques d’une grande cruauté. Lz FERRADE soumet les veaux à l’épreuve du double marquage au fer rouge. Les meilleurs de ces taureaux sont gardés pour les courses camarguaise et subissent alors le « bistournage » une intervention particulièrement douloureuse. Il consiste à à écraser à la pince la racine des bourses afin d’interrompre la circulation sanguine dans les artères testiculaires et de provoquer ainsi une nécrose des testicules. Pratiqué sans anesthésie ni insensibilisation sur des animaux adultes âgés de 2 ou 3 ans maintenus au sol membres écartés par des cordes tirées par plusieurs hommes. Relaté dans les quotidiens locaux, c’est encore l’occasion de faire la fête à la fin du printemps en compagnie d’un public invité à la fiesta.
voilà, des associations tentent d’irraguer tout cela en alertant les pouvoirs concernés.
Bravo à la camargue pour toutes ces fiestas ça donne vraiment envie d’y aller.
au fait ayant eu l’occasion d’y mettre les pieds, j’ai pu remarquer des centaines de chevaux, répartis en plusieurs endroits, attendaient le « client » sous un soleil de plomb
ce sont vraiment les rois de la protection animale
à plus tard