@Orange
Bien des génocides n’ont pas reçu l’appellation contrôlée. Un des plus notables est celui lié à la famine Irlandaise de 1852. Un million de morts et deux millions d’exilés pour un peuple de sept millions. Les colons anglais en Irlande continuaient à vendre le blé Irlandais en export, alors que les irlandais crevaient de faim dans le pays. Le sujet a été très documenté et est accablant pour la couronne d’Angleterre, arc bouté sur son refus d’aider la population. Ils considéraient les irlandais comme des nazis...Heu non comme des animaux. Ou des négres blancs) . Ils étaient particulièrement choqués que ce peuple d’alcooliques ( les drogués Ukrainiens de poutine) aient le culot d’avoir la peau aussi blanche qu’eux. ...
Notons que cette famine créa pour la première fois un mouvement d’indignation international, des marches pacifiques, des aides aux irlandais, et des déplacement d’enquêteurs internationaux en Irlande. A l’identifque de ce qui se passe en Ukraine actuellement ( le parallèle avec la famine Ukrainienne de 1932 et ses 5 millions de victimes de Staline est aussi frappant, mais l’indignation internationale n’a pas été à la mesure de celle qui frappa l’Irlande. Pour revenir à celle ci, et les commentaires qu’elle produisit dans la société anglaise :
Dans une lettre adressée en 1862 à l’un de ses admirateurs, Charles Kingsley - un
écrivain mais aussi un ecclésiastique qui avait été le chapelain de la reine Victoria - "Darwin approuve son point de vue : « Ce que vous dites à propos des races
humaines supérieures, qui remplacent et éliminent les races inférieures, est très . juste. Et aussi que, dans 500 ans, quand la race anglo-saxonne se sera propagée et
aura exterminé des nations entières, la race humaine, prise dans son ensemble,
aura accédé à un degré supérieur ».
Cette « race anglo-saxonne » n’englobe pas la « race celtique », pour laquelle les
deux homme partagent au fond le même mépris. Dans une lettre envoyée à sa
femme depuis l’Irlande, le même Kingsley se félicitait d’avoir réussi à pêcher son
premier saumon (de plus de cinq livres). Mais l’environnement le déprimait : « je suis
hanté par les chimpanzés humains que j’ai vus tout au long des cent miles de ce
pays horrible (...) voir ces chimpanzés blancs est affreux ; s’ils étaient noirs, on y
prendrait moins garde, mais leur peau, sauf quand elle est bronzée par le soleil, est
aussi blanche que la nôtre. »
De « Famine irlandaise : Comment justifier l’injustifiable »