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Commentaire de Luc-Laurent Salvador

sur Le mythe de l'innocence des foules victimaires


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Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 18 avril 2022 19:03

@alinea

D’abord, désolé, j’ai manqué les précédents messages car, sans que je sache pourquoi, je ne reçois plus d’e-mail d’Agoravox m’avertissant d’un nouveau commentaire. Donc je pars à la pêche à chaque fois et des fois, je manque de voir.

La défense des cochons était bien vue. Oui, le porc ressemble à l’Homme puisqu’il s’agit d’un animal domestiqué, l’Homme étant simplement auto-domestiqué.
La domestication leur a fait perdre leur âme ?
J’en doute.

L’homme prétendûment civilisé est brutal, violente, insensible au-delà du tolérable mais il faut noter qu’il l’est aussi avec lui-même (ses semblables quoi !). Donc il y a un problème avec cette « civilisation » capitaliste du gain à tout prix mais pas un problème avec l’Homme qui est juste égaré par « les puissances de ce monde ».

C’est une erreur de considérer qu’une seule chose compte. Tout l’art du vivre consiste à savoir sacrifier sa vie pour (ou la consacrer à) ce qui compte encore davantage à nos yeux. Le sacrifice est la loi du monde... humain. C’est ce que je tente laborieusement d’expliquer. J’ai encore du chemin smiley.

Ce monde humain est normalement à la verticale : les pieds sur Terre, la tête dans le Ciel auquel l’âme se destine. La Vie est la merveille des merveilles ici-bas, nous devons être plein de gratitudes du simple fait de l’avoir reçue mais... elle n’est qu’un passage.

L’âme vise l’éternel, d’aucuns écrivent l’Eternel smiley


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