@sylvain
Oui.

M.Macron est président aujourd’hui que par 24 % réel de votants pour ses idéaux originels. C’est à dire pas grand chose. Elu par un report des voix LR et PS (ce qui en dis long tout de même sur leur différences) et quelques report venu de gauche.

Ces deux partis moribonds, ont ressurgis de leur cendre, sous un autre nom « Les joyeux marcheurs réunis ». (En 2017, par ceux qui las, de ne pouvoir progresser dans leur partis, phagocyté par une bande de vieux ne voulant rien céder, en 2022 par le restant..qui ont encore cru à la vierge)
Bref un idéal de droite républicaine avec un soupçon de socialisme, ont tous basculé dans un européanisme forcené, leur permettant de maintenir ce qu’ils/elles ont.

Le mot d’ordre est que le R.N peut entrer dans l’arène des jeux du cirque quinquennaux, mais pas en sortir vainqueur, le droit de s’assoir à leur table leur est interdit.
Bref, Je ne connais pas en détail le R.N, mais sa tendance serait plutôt souverainiste, agrémenté de quelques excès. De toute façon une fois au pouvoir
ces idéaux « excessifs » ne pourraient être mis en oeuvre, par contrainte. Car nul doute qu’au Législatives qui suivent, le contre pouvoir serait présent. Sans compter les nombreuses lois de L’E.U qui limite l’exercice du pouvoir.

Reste à présent les « Insoumis », congloméra étrange, mais néanmoins représentatif, un peu marchand de rêve, par contre très avide de pouvoir. Dont le principal représentant, haute figure de la gauche, intime un ordre presque dictatorial à ses troupes de voter à droite.
Soit de voter complètement à l’inverse de ses idéaux ! 
Un non sens absolu, qui met en exergue une seule chose, l’avidité du pouvoir ou le refus de tout pour continuer d’exister.

Je suis assez convaincu que Micron 1er sera réélu, par le syndrome de l’isoloir.

Rendre « illégitime » un second mandat de M. MACRON reste possible. Elire un président par un vote barrage stupide et un abstentionnisme exacerbé étant aisément manipulable par la suite pour crédibiliser l’accession au trône de l’élu.

Maintenant.
Si le second tour est l’expression du premier et que les autres concurrents éliminés (et leur « troupes ») votent blanc (même si aujourd’hui ce dernier n’a qu’une valeur symbolique, mais révélant une insatisfaction de ce qui est proposé) 

Les deux candidats en lice « pèsent » environ plus de 40% de la masse électorale, avec un report, ou quelques choix de dernière minutes, l’un sera élu.
Le vote blanc devrait peser 60 %.du corps électoral.

Là et seulement là, ont pourrait parler d’illégitimité.

Et là le « combat » prendrait un tout autre sens, pouvant aisément démontrer l’absurdité du système actuel.

Entendre, des représentants de partis politique appeler leur « troupes » à voter quoi qu’il advienne contre leur idéaux est d’une absurdité sans nom, illégitimant de fait la moindre contestation de leur part, ayant vendu leur idéal. Mais étant tout à fait prêt à collaborer avec un régime, Un nouveau « Vichy ».en quelque sorte.