« L’économie
sociale de marché ». Je doute qu’une économie de marché puisse être
sociale .Le meilleur exemple de cette incompatibilité vient de la politique e européenne
sur les énergies. Jusqu’à présent, le libre marché n’a jamais fait baissé les
couts dans ce domaine, c’est bien souvent le contraire qui est constaté,
particulièrement lorsque la situation internationale se tend. Une politique énergétique
socialement soutenable par les citoyens doit conduire à une disponibilité d’énergie
à faible cout. A noter que L’Europe est dépendante en matière d’énergies parce
qu’elle est victime de sa décision inique de décarbonation de la société,
imposée principalement par l’Allemagne, dans la lignée de la lutte contre le
CO2 anthropique engagée à l’issue du protocole de Kyoto. Décision chimérique,
parce qu’assise sur une thèse hypothétique développé par le Giec en 1988. Les
présuppositions sur le rôle essentiel du CO2 anthropique dans le réchauffement
climatique sont passées de l’hypothèse, au postulat. Elles sont devenues des
vérités par la grâce « performative » des spécialistes du GIEC.
Vouloir décarboner
la société, pour limiter le CO2, n’est pas la panacée en matière de lutte
contre réchauffement. Bien des experts jugent que les effets seront quasi nuls.
Il est à peu près certains que ce genre de décision n’aura que très peu d’incidence sur le réchauffement.
Mais elle engage des couts astronomiques à supporter par les citoyens, et les
entreprises.
En voulant mettre
en avant la lutte contre le CO2 issu des énergies fossiles anthropiques, qui ne
représentent en gros que 5 % des 415 ppm de CO2 contenus dans l’atmosphère se
trompe d’objectif, on se trompe de combat.