@Martin
dès 1991, nombre d’anciens satellites européens de Moscou frappent à la porte de l’OTAN, qu’ils voient comme l’assurance d’échapper à la tutelle russe. D’autant que Moscou n’hésite pas, au nom de la défense des russophones, à intervenir militairement, comme l’illustre le conflit en Transnistrie, une région sécessionniste de Moldavie, en 1992. Si je vous ai soumis ce texte, c’est pour vous montrer la crainte qu’avaient déjà ces petites nations par rapport la Russie, qui tentait de les assujettir même après leur indépendance.
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Je comprends la dimension de votre texte et c’est pour cela que j’ai écrit cet article
Ces états satellites qui étaient indépendants n’avaient nul besoin d’écouter les sirènes de l’Otan si elles n’avaient pas peur que se reproduise ce qui s’est passé sous Staline.
Si le procès du communisme sous Staline avait été fait , si Poutine y avait participé alors ces états auraient été rassurés comme pour le procès du nazisme
en clair,
La
Russie n’ayant jamais été désoviétisée , Poutine a donc
emprunté certaines méthodes à Staline.
Faute
de voir les souffrance infligées par Staline reconnues, les pays de
l’Est se sont éloignés de cette Russie et de de réfugier dans
l’OTAN, alors qu’ils sont si proches des russes culturellement.
il y a aussi d’autres raisons.
En un peu plus de 20 ans, la Russie
a assisté à l’entrée dans l’Otan de 14 pays qui, à divers
degrés, ont été dans sa sphère d’influence pendant des
décennies.
Moscou a également assisté,
impuissante, à l’intervention militaire décidée par les
Occidentaux au Kosovo en 1999. “Pour les Russes, ce
fut une rupture stratégique majeure. D’autant plus que cela
concernait les Serbes, avec lesquels ils ont une relation
particulière”.
rien n’est blanc ou noir.