@L’Auteur
Bonjour,
Notre modèle de démocratie ou politique est arrivé selon moi au comble du ridicule pour la énième fois, Nous avons un Président élu par défaut.
Aujourd’hui, du moins depuis pas mal d’années, le rêve de tout candidat au trône quel qu’il soit est d’avoir comme adversaire final un membre de la famille Le Pen.
Le résultat est garanti.
Sous le couvert du mot « Démocratie », tout citoyen Français peut s’inscrire pour concourir à la Présidence du Pays, après avoir satisfait un certain nombre d’obligation. Pas moins de 65 candidats cette année.
C’est vrai qu’alors ont est en droit de se dire, que la démocratie règne. Oui mais non, car après, pour poursuivre sa quête, il faut être adoubé par 500 élus, représentants locaux de la République.
(Notez que dans l’affaire, le vote du citoyen est secret, mais pas celui de l’élu).
Brisé le rêve du gueux pensant devenir Roi, le chemin de l’accession au trône n’est pas aussi aisé que l’ont peut le croire. Car la cour (le régime des partis), laisse rêver, mais tient à rester au « pouvoir ».
Et pour couronner le tout, pour border la quête du Saint Graal, pour annuler d’éventuelle surprise qui pourrait conduire à une nouveauté, à un bouleversement de l’ordre établi, l’expression des citoyen insatisfaits de ce qui leur est présenté, est purement et simplement non pris en compte.
Si tout n’est pas fait pour maintenir un changement dans la continuité, tout en restant dans le plan légal, sous le frontispice branlant de la « Démocratie ».....
Et de surcroît, après, il est hors de question que la représentativité de l’élu suprême soit remise en cause, ce dernier étant élu à une majorité, non pas par le suffrage de l’ensemble en réalité, mais de ce qui reste.
Bref des 65 candidats, il n’est resté que 12 apôtres de la politique, sacré sélection tout de même. Il est quand même à noter, que certains ont même dû se faire adouber au seing de leur propre formation. (Ils ont les mêmes idéaux normalement, mais le culte de la personnalité est toujours bien présent)
Je n’y vois qu’une chose dans ces 12, qu’un manque flagrant de candidat aux idées du devenir de notre Pays, réellement fédérateur auprès de ses citoyens, brisant les clivages.
Quand à cette union diabolique de la « gauche », le « NUPES » censée donner espoir au Peuple, qu’un contre pouvoir peut exister, est pardonnez moi, une « Foutaise », un artifice démocratique, qui sent la rébellion durant son existence, à cause de son dictateur qui a imposé sa vision.
Une bonne partie des « propositions » du NUPES est impossible à mettre en oeuvre, le Pays étant asservi à un concept s’appelant l’Europe. Elles ont quand même chantée aux oreilles de certains, dans l’unique but d’obtenir le « vote ». Son représentant ayant crié haut et fort qu’il se mettrait en « désobéissance », certes ce n’est pas étonnant de la part d’un insoumis.
Mais nul doute, que quelques tapes sur la tête, lui fera reprendre le chemin, édicté ailleurs que dans notre Pays.
Il y a le bien commun des Français, mais il est asservi au « bien commun » des autres et là dessus il y a beaucoup à dire.