@moderatus
Comme je l’ai déjà expliqué, l’islam modéré n’est pas l’islam mais peut basculer très facilement dans l’islam salafiste. L’islam modéré n’est en aucun cas une solution. De toutes façons, ce n’est pas à une religion que faisons face mais à une idéologie politique totalitaire au même titre que le maoïsme ou le marxisme. Le concordat ou la loi de 1905 n’est d’aucun effet dans ce cas. 
« il fallait faire avec l’islam ce qu’on a fait avec le christianisme et le judaïsme » Si le judaïsme était tenté par le séparatisme, le christianisme n’a jamais rien demandé à l’Etat. C’est l’Etat, au contraire, qui avait besoin de la religion pour asseoir son pouvoir. Le concordat, c’est bien le contrôle de l’enseignement de l’Eglise pour qu’il soit conforme aux volontés du pouvoir. Thiers ne disait-il pas ? « Je demande que l’action du curé soit forte, beaucoup plus forte qu’elle ne l’est, parce que je compte beaucoup sur lui pour propager cette bonne philosophie qui apprend à l’homme qu’il est ici pour souffrir. », ce qui, du point de vue de l’enseignement de l’Eglise, est une hérésie. Dans ce cadre, l’islam est la religion idéale et c’est pour cela qu’il a été encensé par Bonaparte et d’autres. Encore aujourd’hui, les politiques sont bassement intéressés par l’islam dont le nom signifie « soumission ». Ils oublient qu’à terme, ils devront se convertir ou se soumettre.

Le traitement de l’islam en France ne peut être copié sur le traitement des autres religions.
De toutes façons, nous savons que l’islam est basé sur un énorme mensonge. Pourquoi alors ne pas diffuser à grande échelle ce que les historiens disent sur ce mensonge ? Il semble qu’aujourd’hui, ces politiques ont peur des réactions violentes qui pourraient en découler. Les cours d’histoire en 5ème reprennent ce mensonge sans même mettre les précautions d’usage dans ce genre de situation. Pourquoi ne pas enseigner ce que la science nous dit ? Pourquoi laisser de simples citoyens aller au casse-pipe et se faire assassiner, juste parce qu’il ont fait la travail de l’Etat ? Que reste-t-il encore de possible pour l’Etat ?