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Commentaire de velosolex

sur L'école à la base de tout ?


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velosolex velosolex 27 juin 2022 12:02

@mmbbb
Gauche et droite, quelle importance dans un pays où il y a tant de manchots et de borgnes. La découverte de la réalité du wokisme en particulier sur Médiapart où un de mes fils m’a abonné, m’a proprement sidéré par sa bétise décomplexée, avançant avec le même sectarisme militant que naguère les maoïstes, déclinant les fadaises de leur président Mao.
Le wokisme déploie ses tentacules de façon ostentatoire. On l’a vu à l’oeuvre dans les universités, avec des ateliers défendus aux hommes, et réservés aux soi disant descriminés.
A Lyon, le maire faisant dans la provocation a tenté d’imposer le burkini dans les piscines. L’idée de pistes cyclabes « genrées » fait son chemin, sur l’hypothèse qu’un cycliste homme ressemblerait au gorille de Brassens monté sur un vélo, et serait lubrique et brutal..... Faut il dire « un vélo », ou « une bicyclette d’ailleurs »...Des symposiums s’imposent.
Comble de la tartuferie, je suis tombé sur un article qui m’a semblé d’abord sympathique, puisqu’il parlait d’ateliers participatifs liés à la réparation des vélos.....La suite l’était moins...Je vous livre un extrait. Son titre « les heures félines...La réparation des vélos en mode choisie »...Le père Ubu se retournerait dans sa tombe. 
"C’est dans l’Atelier du chat perché, lieu associatif de réparation de vélos, que le collectif lyonnais « À vélo Simone » organise une permanence de mécanique en mixité choisie sans hommes cisgenres. Un moment pour déconstruire certains préjugés et développer l’implication des femmes. L’atelier promeut la vélonomie, terme qui définit l’autonomie dans la réparation mécanique.

Lyon, Atelier du chat perché, 12 mai 2022. Il est 18 heures dans le quartier de la Guillotière. À peine les portes de l’atelier s’ouvrent-elles qu’un cycliste arrive pour une auto-réparation. Nadia l’informe qu’aujourd’hui se tient la permanence sans hommes cisgenres.

En blaguant, le jeune homme lui répond. «  Je n’ai pas le droit, j’ai tout faux alors  !  », puis il ajoute, serein : «  Rien d’urgent, je venais pour refixer mon garde-boue. Je repasserai mardi.  »

Je vous laisse chercher sur internet ce qu’est un homme cisgenre, dans cet univers d’apartheid qui évoque un roulement à billes, sorties de leur cage,dans un pédalier. 


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