@yvesduc
Absolument dérisoire de se protéger des gouttelettes. Pourquoi ? Parce que pour être « infecté », il ne suffit pas de recevoir les crachats et des postillons en pleine face, il faut surtout les respirer !
Les postillons sur votre visage, ou un crachat d’une personne infectée, ne vous rendront pas malade, que si, et seulement si, votre appareil respiratoire inhale ces postillons ou crachats. Nous sommes infectés par les voies respiratoires et non par le tractus gastro-intestinal.
En revanche vous serez rapidement infecté si des particules aérosols flottant dans l’air sont autour de vous. Et si l’infecté, porteur d’un masque, est dans la même pièce que vous, il « émettra » dans l’air des quantités de virus. Malgré son masque, « l’infecté » émet dans l’air environnant ses virus. Et masques ou pas masques, vous allez « respirez » ces virus flottant dans l’air. Les masques sont inutiles ! On nous fait croire qu’ils le sont. C’est désolant !
L’expérience de Milton Rosenau, lors de la terrible pandémie de grippe espagnole en 1918-1919, nous enseigne que même au contact très étroit de malades infectés par le virus, on peut très bien ne pas être soi même infecté si le système immunitaire de la personne est performant.
Les virus sont dans les masses d’air qui circulent. La transmission virale ne se fait pas d’humain à humain, mais, ceux ci, se contaminent en « respirant » les virus véhiculés par les masses d’air. Il n’y a aucun moyen de s’en protéger. Seul un système immunitaire efficient nous est favorable. Et de celui ci et de son renforcement, il n’en est jamais question. « On » préfère nous vendre les masques et la distanciation sociale. C’est totalement dingue !
... À l’époque, les autorités sanitaires pensaient que la cause de la grippe espagnole était un micro-organisme appelé bacille de Pfeiffer, et elles s’intéressaient à la question de savoir comment cet organisme pouvait se propager aussi rapidement. Pour
répondre à cette question, des médecins du service de santé publique américain ont tenté d’infecter cent volontaires sains âgés de dix-huit à vingt-cinq ans en prélevant des sécrétions muqueuses du nez, de la gorge et des voies respiratoires supérieures des personnes malades.
Ils ont transféré ces sécrétions dans le nez, la bouche et les poumons des volontaires, mais aucun d’entre eux n’a succombé ; le sang des donneurs malades a été injecté dans le sang des volontaires, mais ceux-ci sont restés obstinément en bonne santé ; enfin, ils ont demandé aux personnes atteintes de respirer et de tousser sur les volontaires sains, mais les résultats ont été les mêmes : la grippe espagnole n’était pas contagieuse, et les médecins ne pouvaient attribuer aucune responsabilité à la bactérie accusée...
20/07 11:14 - Pierrot
20/07 11:11 - Pierrot
@Legestr glaz Ce que vous ne dites pas, c’est que la dose de virus reçue est essentielle (...)
20/07 10:30 - Pierrot
@Legestr glaz La Covid-19 n’a rien à voir avec la fièvre aphteuse, par exemple, dont le (...)
16/07 19:29 - sirocco
@Louis « Moi j’ai pris volontairement une seule injection de LOUPFIZER histoire de (...)
15/07 22:29 - GoldoBlack
@Géronimo howakhan Ca ne vous gêne pas de vous faire laver le cerveau à a merde ? Parce que ce (...)
15/07 22:24 - GoldoBlack
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