@Mozart
« Quand on écoute les « communistes actuels », ils nous affirment que le communisme de demain sera mieux que celui d’hier. »
Il ne faut surtout pas confondre les communistes et les staliniens. J’ai montré ici que c’est complètement antinomique. Vous devriez être satisfait de l’action de Staline qui en exterminant les bolchéviks a fait ce que les armées blanches rêvaient de faire elles-mêmes.
"d’abord le combat des bolchéviks, sorte de terroristes mafieux, contre
les mencheviks, qui eux, étaient de vrais communistes, c’est-à-dire
qu’ils croyaient à un communisme du peuple et non d’une mafia. Mal leur
en a pris, ils se sont fait éliminer par les bolcheviks, alors même que
le peuple penchaient pour eux."
Le tableau que vous dressez est évidemment celui d’un anticommuniste qui ne supporte surtout pas que cette révolution (action d’un peuple) ait été victorieuse.
« Dois-je finir avec Trotsky, qui dans ses mémoires, passe sont temps à se glorifier »
Je serais curieux que vous précisiez cela. Trotsky a écrit un livre intitulé « Ma vie » qui ne peut pas être considéré comme ses mémoires puisqu’il a été écrit bien avant d’avoir terminé son action et dans ce livre il ne cherche nullement à se glorifier.
Il y a tout de même un éclair de vérité dans ce que vous dîtes : " Plutôt que de vouloir propager la révolution à l’international, il
aurait mieux fait de travailler pour le bonheur de sa nation« .
Justement, il était impossible de son point de vue qu’une nation puisse s’épanouir en regardant avec plaisir le malheur des autres nations (c’est le point de vue nationaliste) ou, pire que cela, en dominant d’autres nations (c’est le point de vue impérialiste).
»Enfin, s’il y avait eu évolution et non révolution, il n’y aurait pas eu de guerre blanche-rouge."
Celle-là, on la connait. J’ai expliqué ça en d’autres termes dans l’article. Je fais un copier/coller.
"La haine à l’égard des bolcheviks et de la révolution d’octobre est la
pure expression de la conscience de classe des capitalistes. De tout
temps, depuis les révoltes des esclaves spartakistes jusqu’à nos jours,
les exploiteurs n’ont cessé d’exprimer leur haine, égale à leur hantise,
contre les exploités qui se révoltent. C’est pourquoi ils calomnient
toutes les révolutions et tous les révolutionnaires. Leurs discours sont
toujours les mêmes : « laissez-nous jouir de votre plus-value !
Transpirez pour nous ! On veut vous faire crever au boulot (Tiens ! Si
on faisait une réforme des retraites...). Soyez soumis et dociles. Si
vous vous révoltez, il y aura plein de morts. Ce sera atroce et ce sera
de votre faute. C’est vous qui aurez commencé. Vous l’aurez bien
cherché... »"