@olivier cabanel
Bonjour,
Cela en serait presque souhaitable, allez pendant quelques temps, pour que l’humanité se rende compte, qu’elle n’est rien ou tellement fragile.
Pensant dompter la « planète ».. et pensant aussi que sa technologie la sauvera...
Bref, au delà du traditionnel sensationnalisme médiatique malsain sur des « découvertes » venant attester des coups de chaleurs et de sécheresse, il n’en reste pas moins que des effets physiques sont en cours influant la climatologie de la planète.
Cela à toujours existé, de très grands problèmes liés à des phénomènes naturels ont existé par le passé, il y a seulement quelques siècles.
Ils ont causés des perturbations incroyable sur « l’humanité », pas partout bien sûr. Ils n’étaient pas liés à « révolution industrielle » qui n’a fait qu’ajouter aux désordres que la petite boule peut générer toute seule.
Aujourd’hui l’humanité est face à trois grands problèmes
— Augmentation démographique galopante
(La place ne manque pas, c’est la nourriture, qui peut poser un problème)
— Raréfaction de certaines ressources
(Cela peut porter préjudice à notre évolution ou au maintien de cette dernière, quoique certains s’en passe très bien)
— Impacts climatique
(je préfère dire impact, car le climat change tout le temps, seulement depuis quelques temps les effets de ces changements sont de plus en plus violents, c’est tout.)
Ca fait pas mal quand même...
Je pense qu’une fois que « l’humanité » sera descendue de son piédestal (pensant en fait qu’aux « Pays Industrialisés », ceux qui ont la sensations de maîtriser leur destin), elle se rendra compte qu’elle n’est rien, qu’elle ne peux que subir malgré tout son savoir.
Notons quand même que son savoir est plus performant dans sa capacité à se détruire pour préserver « sa liberté », qu’à mieux vivre. Mais c’est un autre sujet.
Concernant les « impacts Climatiques », nous ne pouvons que constater que ces derniers ont une action forte voir plus forte sur notre mode vie (ou du moins son évolution), causant beaucoup plus de dégâts qu’ailleurs.
Les exemples sont légion, nous pourrons ériger moult barrières, moult autres choses, la « nature » est toujours la plus forte.
Pour les climatosceptiques, je les enjoins à étudier le phénomène du « dust-bowl », qui finalement n’est pas si vieux, phénomène ou seule l’activité humaine l’a provoqué, tous les experts pro ou pas l’ont constaté. Les dégâts sont toujours là, ils ont influencés les effets locaux du climat.
Dire que certaines activités « humaine » n’ont pas d’impacts est un non sens, c’est issu chez eux d’une sorte de peur ancestrale qui les place dans le déni, volontaire ou non.