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Commentaire de Legestr glaz

sur Devenez naturopathe, un métier d'avenir...


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Legestr glaz Legestr glaz 27 août 2022 22:09

@Mélusine ou la Robe de Saphir.

Le choix d’être à deux est un « arbitrage » pas une obligation. Il faut croire que des bénéfices secondaires sont en jeu. 

On peut, par l’alimentation, redresser une situation périlleuse du point de vue de sa santé, à la seule condition de faire les choses dans le bon ordre et de « modifier » ce qui doit être modifié. Il faut avoir pris la décision de s’intéresser à sa santé. C’est très souvent lorsque la maladie parvient en phase aiguë que les malades se disent qu’ils auraient bien aimé poursuivre un peu plus leur chemin sur la planète Terre. Mais lorsqu’une trop grande partie des tissus de certains organes a été touchée et détruite, alors la situation est irréversible. Seuls des soins palliatifs seront encore possibles. 

Aller mieux en modifiant ce qui nous a rendu malade est un choix. Si vous voulez fumer, c’est votre choix. Vous savez que les matières particulaires polluantes vont agresser vos voies respiratoires et vos poumons et provoquer un stress oxydatif très augmenté. En continuant à fumer, vous jouez à la roulette russe, mais, pourquoi pas : c’est un choix et il n’est pas critiquable. 

Et, entre nous, les premiers signes que notre santé décline se manifestent par l’accumulation de graisse viscérale. C’est le signe « visible » que l’organisme lutte contre une alimentation mal adaptée pour lui. C’est comme les maladies métaboliques, dites « civilisationnelles » : elles ne sont pas des « dysfonctionnements de l’organisme » mais simplement un moyen de défense contre des agressions que vous lui faites subir. Des « pis-aller ». 

Parler de « dysfonctionnements métaboliques » c’est nier que le corps humain sait parfaitement bien ce qu’il fait et pourquoi il le fait. Hormis quelques cas génétiques rares, qui, hélas, empêchent l’organisme de fonctionner d’une manière équilibrée, tous les autres malades doivent savoir que se sont les vilénies qu’il subit jour après jour qui lui font prendre certaines mesures radicales, de sauvegarde, qu’il ne prendrait pas si l’alimentation qu’il reçevait était ce qu’elle devrait être. Alors, oui, évidemment, des phénomènes comme la pollution atmosphérique n’arrangent pas la santé humaine. Aussi, pour préserver sa santé il serait opportun de ne pas agresser son organisme. A n’importe quel âge, il est possible de faire en sorte que la santé aille mieux. Mais si le mal est profond, un cancer en phase terminale par exemple, rien ne pourra permettre de sauver qui que se soit. Hélas. 

 


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