De la « comm » du ministère pour l’essentiel. Ayant confondu pendant la crise « Covid » (entièrement crée si le virus ne l’a pas été aussi), « vaccin » (le truc qui empêchait d’attraper une maladie et de la transmettre) avec un produit expérimental injectable ne protégeant modérément que les personnes à risque (minorité de la population) pendant une durée limitée à trois mois environ, on peut les comprendre.
Pour parodier un comique dont le nom m’échappe, le « on va essayer de vous expliquer » devrait logiquement entrainer la réponse inaudible pour eux de « on a très bien compris et la réponse est toujours »non« ).
Il n’y a aucun doute aujourd’hui que vouloir vacciner sous les 30 ans sauf cas rares (obésité massive, diabète, etc) a relevé de la mise en danger d’autrui, même s’il semble avec un recul faible que ce risque était faible mais supérieur au risque encouru face au virus.
Le »Distilbène« a mis une génération entière avant de montrer ses effets secondaires et donc tenter une pareille expérience à échelle maximale restera dans les annales une jolie expérience d’apprentis sorciers.
La gestion épouvantable de »H1N1« (vaccination massive préconisé pour un virus »ordinaire" en dépit de sa plus forte contagiosité) aura été la répétition pour franchir une limite de plus.