@Eric F
Je suis loin d’être un va en guerre, et l’europe sans aucun doute aussi. Sinon elle n’aurait pas fermé les yeux quand la Russie a soutenu Bachar, et ses exactions, qui n’avait aucune chance de se maintenir au pouvoir face au mécontement général en Syrie. Idem pour la Tchéchénie. Ne parlons pas de l’anschluss sur la Crimée. Le Dombass, ce sont les sudètes de Poutine. L’opération speciale, qui ne devait être que « des manoeuvres », selon la terminologie Poutinienne a arraché enfin l’europe au sommeil. il en allait simplement de sa survie, comme en 39
. Et même les Ukrainiens n’ont pas cru à l’éminence de cette invasion, stupide et archaïque, coupant définitement tout espoir d’entente entre Russie et Ukraine, au nom d’un nationalisme fou.
L’espoir de neutralité, ce sont les Russes qui les ont piétinié. Nul doute que si l’ukriane n’avait pas fait face avec courage, ce sont les pays baltes qui étaient anexés.
Poutine, ce criminel psychopathe, qu’on pensait joueur d’échec n’est qu’un vulgaire joueur de dame à la pettite semaine, incapable de projection. On comprend que Gorbatchev le dérange, et qu’il veule transférer toutes les impasses de l’urss, sur ce personnage qui a tenté de sauver les meubles, après la guerre d’afghanistant et le désastre de Tchermobyl. il ne connait que la force. Il s’est moqué de ce pauvre Macron qui l’avait invité à Brégençon il y a trois ans, et qui révait de partenariats, rêvant lui aussi d’ouverture...... 200 000 morts plus loin,
Poutine en est réduit à faire son chantage à la terreur. Il a fait tombé toutes les économies et les échanges de la sphère européenne. Le climat en Russie est celui de l’aire stalinienne, replié sur elle même dans un réflexe paranoiaque. .
Pendant ce temps, les chinois observent le désasre. Ils sont intéressés depuis longtemps sur les territoires russes, peu peuplés, qui longent leur frontière....Qu’en aurait pensé le Tostoï de « guerre et paix »...Qui a lui ce grand livre toujours actuel ici ?..J’"admire la culture russe, comme la culture allemande. Reste que des abrutis soufflent à un moment donné de l’histoire sur des braises, pour attiser le désastre, en lançant leurs troupes prêts à toutes les exactions, pour rester au pouvoir.