@Philippulus
Je connais un cas exactement contraire, celui d’une femme née en Colombie et adoptée par un couple français qui ne veut pas entendre parler d’autres parents que ses parents nourriciers.
Et pour en rajouter, je dirais même que ces situations sont d’une grande diversité ...
Sur ce jeune adopté en Inde, il existe toujours une souffrance, et il est impossible de l’éviter, les causes, les raisons profondes, la réalité est d’une complexité telle. J’ai essayé de vous donner quelques éléments dans ce même message.
@Mélusine ou la Robe de Saphir
J’ai un jour, il y a longtemps regardé un débat où un jeune disait sa pensée à ses parents adoptifs. Un hindou. Mais je ne vous ai rien demandé moi. Vous m’avez arraché de mes racines en Indes...
C’est une constante dans les familles adoptantes que de se poser la question et essayer d’y répondre au mieux, au moins mal je dirais. A savoir, ne rien cacher à l’enfant, toujours répondre ... Et surtout pour les adoptions à l’étranger conserver tous les documents, les contacts, les noms, les lieux, ... qui seront utiles quand l’enfant adopté le demandera, s’il le demande.
Il n’existe pas d’enfants adoptés qui n’ont pas la préoccupation de leur histoire, de leurs origines, ... mais il existe des milliers de manière pour ces enfants de la formuler et de la mettre en acte..