@Fergus

Rendez vous, par conséquent, à la prochaine « inversion thermique » en lien avec les prochains « pics de pollution » qui augmenteront le niveau des matières particulaires (PM10, PM2,5, PM1 et particules ultra-fines) dans l’atmosphère. 
A savoir que l’on ne mesure pas les PM1 ni les particules ultra-fines de l’atmosphère alors que ce sont elles les plus dangereuses pour la santé compte tenu de leur toute petite taille. 80% de PM10 sont des PM2,5 et 80% des PM2,5 sont des PM1. 

Les personnes au système antioxydant amoindri et/ou celles ayant accumulé durant des dizaines d’années ces particules toxiques dans leurs voies respiratoires, succomberont.

Nous assistons à ce phénomène en hiver, lorsque la température du sol est inférieure à la température en altitude, ce qui bloque l’évacuation des matières polluantes dans la haute atmosphère. Nous assistons à ce phénomène en été, lors des canicules, lorsque l’ozone troposphérique se combine avec les matières particulaires polluantes. 

Chaque année, dans le monde, la pollution est à l’origine de 7 à 9 millions de décès. En France le chiffre est estimé à 48.000 morts annuels. 

Les matières particulaires polluantes sont à l’origine de maladies cardio-respiratoires, d’hypoxie, de détresse respiratoire, d’AVC, de thromboses, de phénomènes de coagulation. 

Si l’on « règle » le problème de la pollution atmosphérique on règle immédiatement le problème des virus respiratoires. Mais il n’existe pas de vaccin contre les matières particulaires polluantes. 

Conseil approprié : augmenter la capacité anti-oxydante de l’organisme par tous les moyens : vitamine C, vitamine E, vitamine A, zinc, cuivre, manganèse et sélénium. 

Les « attaques virales » peuvent se résumer à une augmentation phénoménale du stress oxydatif que certaines défenses antioxydantes dans l’organisme ne peuvent pas surmonter, parce que déjà en proie à des phénomènes oxydatifs importants. 

https://reporterre.net/Une-mort-sur-cinq-dans-le-monde-serait-due-a-la-pollution-de-l-air-selon-une-etude

https://www.nationalgeographic.fr/environnement/la-pollution-atmospherique-tue-trois-fois-plus-que-la-covid19

https://www.francetvinfo.fr/sante/environnement-et-sante/pollution-de-l-air-une-nouvelle-etude-revoit-le-nombre-de-morts-a-la-hausse_3229709.html

https://www.planetesante.ch/Magazine/Sante-au-quotidien/Pollution/La-pollution-de-l-air-augmente-les-maladies-cardiaques-et-pulmonaires

https://observatoireprevention.org/2017/08/24/limpact-devastateur-de-pollution-atmospherique-sante-cardiovasculaire/

Pour aller plus loin : 
https://www-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/pmc/articles/PMC9310863/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc

La douce musique des « virus respiratoires » est inaudible face à la fanfare des matières particulaires polluantes. D’ailleurs, les « virus respiratoires » ne tuent jamais personne. Ce sont les infections bactériennes qui suivent les agressions des tissus des voies respiratoires qui causent les décès. Et de très nombreuses études scientifiques montrent « comment » les matières particulaires polluantes, les particules ultra-fines, pénètrent la circulation sanguine pour y commettre leurs méfaits. Ceci n’est un secret pour personne, sauf pour le grand public !

Parce que, dans les médias de masse, et dans la communication gouvernementale, on ne fait tourner qu’un seul disque, celui de la « douce musique des virus », pratiquement personne n’entend parler de la fanfare des matières polluantes atmosphériques. Ce dernier disque ne se vend pas et reste ignoré. Il devrait faire du bruit, mais il ne le fait pas.