Vous écrivez en marge
Si l’on relie diverses réformes entre elles, on s’aperçoit que les
élites installent, entre autres, une conception très nouvelle de
l’Homme, de sa « gestion » … rationalisée ( « passe sanitaire », dossier
médical sur internet, etc… ) , et même de sa vie : un enfant né garçon
peut réclamer être fille (et vice-versa), des personnes de même sexe
peuvent juridiquement engendrer, une femme a le droit de décider
d’avorter d’un enfant viable ; on pourra bientôt liquider un être humain
à la seule condition que celui-ci le demande, ou, demain, … ne s’y
oppose pas. Ce qui, dans la gestion de la vie et de la mort, , s’ajoute
(dans la même logique) aux refus des services d’urgence de transporter
ou d’accueillir des personnes, au motif que ces dernières ont dépassé un
certain âge.
Ici, vous exprimez une opinion sous forme de procès d’intention. Ce n’est pas impossible, mais là encore, il faut faire attention de ne pas soi même dériver vers une forme de lois liberticides de sens contraire.
En effet, le principe de liberté individuelle consiste à considérer que chacun est le souverain absolue de son propre corps et le propriétaire de son temps de vie. Que l’on définit par l’expression « la liberté de chacun s’arrête là où commence celle d’autrui » ou plus précisément, « la liberté de chacun s’arrête là où se pose celle d’autrui ». Autrement dit, tant que la question ne se pose pas où est négative, alors, la liberté de chacun doit être pleine et entière, quelle que soit son choix.
De fait, un enfant né garçon peut réclamer non pas être fille, mais mettre son corps en accord avec son être. De même, une personne peut demander à mettre fin à sa vie lorsque celle ci a perdu tout sens, mais en aucun cas cela vaut pour dire qu’on puisse décider pour lui comme vous le laissez supposer en disant "ne s’y oppose pas’. Idem pour le ffait d’avoir dépassé un certain âge, cela vaut uniquement pour les personnes étant grabataire, mais cela ne vaut pas du tout pour une personne même centenaire qui reste parfaitement consciente et ayant toujours goût à la vie. Le seul cas qui reste litigieux est celui de l’avortement. Selon le principe de la souveraineté de l’être sur lui même, la limite se situe au moment où l’enfant in utéro acquiert l’état de conscience d’être. A ce moment là, il n’appartient plus totalement à la mère, avant cela, si.
Entre parenthèse, la contrainte vaxxinale du covid est totalement liberticide, car le non vaxxiné ne viole pas ni de près ni de loin la liberté d’autrui.