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Commentaire de Aristide

sur Euthanasie : l'hypocrisie des adversaires d'une évolution de la loi Claeys-Léonetti


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Aristide Aristide 23 septembre 2022 08:23

@pemile

 la SPCMD C’EST ARRETER HYDRATATION Et NOURRITURE !

éventuellement et surtout 

4.2.1 Médicaments de la sédation


Une recommandation de bonne pratique (RBP) décrivant la prise en charge médicamenteuse de la SPCMD a été publiée en janvier 2020.
Le médicament recommandé est le midazolam.
Médicament de 1re intention, il est utilisable par toutes les voies d’administration, la voie intraveineuse (IV) étant recommandée, quels que soient l’âge et le lieu : à domicile ou en Ehpad, il est obtenu par rétrocession par une pharmacie hospitalière.
Il est administré soit avec une dose de charge réalisée par titration suivie d’une dose d’entretien, soit avec une perfusion continue d’emblée à augmenter progressivement : les modalités d’administration sont détaillées dans le guide du parcours de soins et dans la RBP.
La possibilité d’un réveil, notamment lors des soins ou du nursing, est anticipée par l’injection ponctuelle d’une dose complémentaire d’antalgique et de sédatif.
D’autres médicaments sont possibles :
benzodiazépines à demi-vie longue (diazépam, clonazépam) ;
neuroleptiques sédatifs (chlorpromazine, lévomépromazine) en complément de la benzodiazépine ;
à l’hôpital : phénobarbital, propofol, oxybate de sodium, kétamine, dexmédétomidine utilisés par des médecins expérimentés, dans un contexte de surveillance adaptée.

Les opioïdes seuls ne doivent pas être utilisés pour induire une sédation ; ils seront poursuivis ou renforcés pour contrôler les douleurs et les dyspnées.



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