@Aristide
« autant je crois qu’il est trop simple de solliciter les responsabilités de l’UE, de l’euro et de la mondialisation comme raisons essentielles de la dévalorisation du travail. »
Et bien non justement, quel homme politique dans les années 1980, à eu pour mots « La France doit devenir une Société de services ».
Déja se tramait insidieusement tout d’abord une déconstruction des outils, enfin plutôt de nos outils pour suivre un modèle d’outre rhin. Ce qui ne m’étonne pas de la part d’un ancien collaborateur de cette nation en des temps obscurs.
Devait suivre et à suivi ensuite, un principe de libéralisme, devant provoquer le bonheur des peuples.
Puis une dévalorisation du « travail manuel » associée, pour favoriser une désinsdustrialisation (notamment dans notre Pays). Pourquoi s’abaisser à fabriquer, c’est bas, vil, dévalorisant, alors que l’ont peu faire faire ailleurs à bas coût.
Il est à noter tout de même que dans cette Europe, qu’il n’y qu’un Pays qui s’est très peu désindrustrialisé.
Nous ne sommes pas une République bananière, mais pas loin.
La remarque de M. ROUSSEL est perclue de bon sens, le conglomérat « Nupéssien » est devenu jaloux de ne pas avoir eu cette idée, qui certes n’apporte pas de votes, rendez vous compte supprimer les « Allocs et les ARE ».
Supprimer le chomâge de longue durée au profit d’emplois est du bon sens, quitte à forcer entreprises et demandandeurs d’emplois.
Réformer en globalité les diverses et trop nombreuses aides sociales, qui créent une sorte d’assistanat au profit d’emplois de base plus rémunérateur, ne me paraît pas idiot comme concept, surtout quant l’ont voit les dividendes versés, même pendant la sorte de récession « covidienne ».
Une part plus importante devrait revenir à ceux qui les font, au lieu d’être distribués à ceux qui en ont le moins besoin.
C’est une sorte de principe d’égalité un peu plus juste seulement.