Le jour où les humains assumeront leurs contradictions et paradoxes, nous aurons fait un grand pas pour l’échange dans les communications. Exemple : Brigitte Bardot qui se montre avec les bébés phoques ensanglantés alors qu’elle abandonne son bébé en parlant de lui comme un « cancer » qui poussait dans son ventre. Geogia Méloni qui s’opposera à l’IVG et l’euthanasie, mais par ailleurs condamnera à une mort certaine des milliers d’immigrants. L’humain est un être de paradoxe et quand il cessera d’être dans la dualité, nous avancerons.... C’est cela la biodiversité. Le problème, c’est quand il y a déséquilibre. Trop de l’un ou trop de l’autre. Même exemple concernant le problème Russie-Ukraine. Le journal La Libre ne comprend pas que l’Ukraine qui sur le fond est si semblable aux russes n’ont pas droit à leur indépendance. Alors que nous savons bien que la Libre est un journal royaliste opposé à l’indépendance de la Flandre. Oui, nous sommes des êtres de paradoxes.... Hier de revoir le mythe d’Abel et Caïn. Qui peut vraiment décidé qui est le méchant et le bon ? On comprend Caïn vexé que son cadeau fruit de son labeur ne soit pas préféré. Pourtant, c’est lui qui reçoit la bénédiction divine de l’intouchable : la TAV ou TAU. Lui l’assassin de son frère Abel. S’il n’y avait pas eu Abel, l’humanité n’existerait pas car il n’eut pas de descendance. Ce sujet sera toujours propre à l’histoire de l’humanité. Et c’est peut-être bien ainsi. Des cycles et des mouvement de balanciers.... N’est-ce pas Freud qui écrivait que le « méchant », l’animal sauvage nous fascine plus que le gentil lapin.... Un roman sans meurtre sera considéré comme « mièvre » (je m’excuse Rosemar-bonbon).... Si la mort nous fascine tant, ben c’est peut-être parce qu’elle est génératrice de VIE....