@Clark Kent
« Quand on introduit des chats dans une île où il n’y en avait jamais eu, »
Diantre c’est un comparatif étrange pour aborder le thème de l’immigration.
Mais pourquoi pas
Les chats « tuant » les rats, qui eux même « tuaient » d’autres nuisibles. Et finalement, « ils » se sont retrouvés avec beaucoup trop de chats, et une augmentation des autres nuisibles, non régulés par les rats. Trop fort.....
Le génie des penseurs, philosophe en tout genre, fut au départ de faire passer l’immigration comme un « sauvetage ». Nous offrons sur nos terres une autre vie à ces gens, ou ils pourront s’épanouir, etc, etc.
Cette immigration était la nouvelle forme de l’esclavagisme, beaucoup plus vile et pernicieuse, ils ne recevaient plus des coups de fouets, mais de l’argent qu’ils redonnaient après.
Le tout dans une fausse bienveillance tolérante, très soutenue par certains, pour peu qu’ils ne fussent pas présent dans leur monde.
N’était pas envisagé la reproduction bien sûr, à la manière des chats !
L’immigration d’aujourd’hui est encore bien plus pernicieuse, cette (fausse) tolérance toujours pour les mêmes thèmes, ne l’est que pour des raisons bassement géostratégiques et surtout économiques.
Accueillons des X, parce que nous « commerçons » avec Z qui lui même « commerce » avec W, qui n’aime les X chez lui, pour tout un tas d’autres raisons.
Phénomène est orchestré par des puissants, voulant le rester et même le devenir un plus, quand à l’insertion des X, « ils » s’en foutent royalement, au gouvernement des X de gérer le problème et là de prôner des idéaux comme
la « mixité sociale », le « multiculturalisme », etc....
Idéaux, qui dans l’histoire de l’humanité n’ont jamais donné de résultat, sinon des troubles. Mais surtout gardons nous de revoir l’histoire à t’on dit.
Oui, il ne faut surtout pas regarder le passé, car avec un peu de réflexion et de bon sens (ce qui se perd, devant le mougeonnement global) l’ont trouverait bon nombre d’arguments, prouvant que les solutions « nouvelles » n’ont jamais fonctionné.