Commentaire de Jean Keim
sur On a tous quelque chose en nous de Néanderthal (et de Tennessee aussi, sûrement)
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Si des muscles ne sont pas utilisés, ils se rabougrissent, si d’autres muscles se spécialisent dans une utilisation particulière, alors ils se modifient en conséquences.
Dans le cerveau, le même raisonnement peut être fait probablement, ainsi une vie routinière va dégrader la plasticité du cerveau, des zones particulières vont se scléroser ; de même des activités comme par exemple la pratique régulière d’un ‘’art’’ développera des zones spécialisées, mais rien n’est définitif sauf si nous avons la conviction que le cerveau est un organe comme un autre, s’activant dans les limites intérieures d’un corps, ne serait-ce que sans envisager qu’il puisse être ouvert sur un extérieur fait de choses connues mais aussi inconnues.
L’intelligence fait partie de cet inconnu sauf si nous adhérons mordicus à une définition académique.
Derniers commentaires
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13/10 09:24 - Jean Keim
Si des muscles ne sont pas utilisés, ils se rabougrissent, si d’autres muscles se (...)
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12/10 22:54 - JPCiron
@JPCiron Mais tous les trois étaient assez proches pour être semble-t-il interféconds.
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12/10 22:52 - JPCiron
@L’apostilleur En fait, sapiens et neandertal ont un ancêtre commun qui remonte à (...)
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12/10 22:25 - JPCiron
@mmbbb < le gène FOX-P2 > Ce gène est présent chez la plupart des mammifères. (...)
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12/10 21:59 - JPCiron
@Francis, agnotologue < c’est ma réaction que je trouve idiote. > Mais (...)
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12/10 14:18 - mmbbb
@Clark Kent En complément de votre article, j ai regardé une émission dur ARTE consacreée a (...)
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