@Lynwec
Il aura fallu attendre 35 ans (2021...) aux victimes ukrainiennes, russes et biélorusses exposées aux radiations de l’accident de Tchernobyl ainsi qu’à leur descendance pour être rassurées sur l’état de leur patrimoine génétique... C’était une vraie question et une crainte légitime qui concernaient des millions de personnes et en aucun cas un problème d’eugénisme.
Vos laborieuses tentatives d’interpréter autrement l’article 16 que comme un devoir logique de l’État ukrainien plutôt que de regarder cette réalité en face sont un peu pathétiques... Il y a gros à parier qu’une telle clause existe également dans la constitution de la Biélorussie, elle aussi très touchée par cet accident nucléaire ...
« C’est la plus grande étude de ce genre jamais réalisée. Publiée dans Sciences, elle prouve que les parents exposés aux radiations de Tchernobyl n’ont pas transmis davantage de mutations génétiques à leurs enfants, conçus après la catastrophe. Cette nouvelle vient apaiser les craintes quant aux conséquences de la catastrophe sur les générations futures. Les chercheurs espèrent que leurs conclusions rassureront d’autres populations touchées par des accidents nucléaires, notamment celles évacuées à la suite de la fusion de la centrale de Fukushima Daiichi en 2011. »
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