@tashrin
"C’est surtout une aide à la parentalité, ce qui pose d’évidentes
questions de justice fiscale, d’encouragement ubuesque à la natalité«
Si vous lisez mes posts par ailleurs, je suis favorable à une stabilisation (voire legere regression progressive) du nb d’humains sur terre (et c’est déjà le cas pour la France si l’on ne prend pas en compte l’immigration)
Mais pour en revenir au financement de la jeunesse, réponse en 2 parties.
- sur un plan individuel, chacun doit naturellement être totalement libre de profiter ou pas des joies de la famille, liberté individuelle !
- mais sur un plan collectif, des enfants sont nécessaires. Egoistement, juste pour permettre aux seniors de manger (et plus largement consommer) sans produire jusqu’à leur mort.
Ainsi, même ceux qui individuellement préfèrent »pas d’enfant« (c’est leur liberté) doivent contribuer au financement de la jeunesse pour »assurer leurs vieux jours«
Qu’est ce qui vous choque ?
Dans mes propositions, même somme consacrée à chaque jeune (l’égalité des chances) car chaque jeune à »la même valeur« indépendamment de sa famille et de son environnement. Sur cette somme, une partie en nature, par ex pour l’educ nationale. Et une partie en espèces, au début, bien sur versée au responsable de l’enfant (qui pourra en utiliser une partie pour cotiser pour sa retraite = c’est le moyen de traiter ce sujet sans faire un cas particulier dans le dossier retraite pour traiter »les enfants"). Versée directement au jeune a partir de modalités (age, autonome ou pas, ...) à débattre.