@Eric F
La pollution de l’air a toujours été un problème pour la santé de l’être humain. Fumées d’incendies, fumerolles volcaniques, poussières, spores et champignons microscopiques. A tel point que l’organisme humain a développé des « recepteurs » pour identifier ces « xénobiotiques » de manière à les prendre en compte pour les éliminer. Ce sont les récepteurs « Aryl hydrocarbone » -Arh-.
... « La pollution environnementale représente une menace croissante pour les pays industrialisés ou en voie de développement. Elle est associée à de nombreuses pathologies (asthme, diabètes, cancer...). Les organismes vivants ont développé des systèmes de détection des polluants environnementaux (dioxines, hydrocarbures,...) ; ce sont des récepteurs de xénobiotiques pour la plupart des facteurs de transcription. Ils détectent par liaison les polluants et activent la transcription d’enzymes qui conduisent à l’élimination de ces molécules. Le AhR (Aryl hydrocarbon Receptor) est un récepteur de xénobiotique qui détecte plusieurs familles d’hydrocarbures fortement représentés dans l’environnement (dioxines, PCBs, hydrocarbures aromatiques...). Ce rôle est bien caractérisé chez les mammifères. »...
Et ces récepteurs « Aryl hydrocarbone » -Arh-, fixent les hydrocarbures aromatiques polycycliques — HAP—, ces saloperies polluantes présentes dans l’atmosphère, pour les éliminer.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/Hydrocarbures_aromatiques_polycycliques_HAPs_.pd f
Surtout Eric F, faites bien silence sur la pollution, sur les matières particulaires polluantes qui détruisent notre santé. Parlez nous des « virus » pour détourner l’attention, comme le font les industriels du vaccin.
... « Les Polluants organiques persistants (POP) recouvrent un ensemble de substances chimiques qui possèdent quatre propriétés que la convention de Stockholm a explicité en 2001. Ils sont persistants, bioaccumulables, toxiques et mobiles.
Ils résultent surtout des rejets dans l’environnement par les activités humaines, depuis plusieurs dizaines d’années. Persistants, ils se dégradent lentement : de quelques années à des siècles, pour certains. S’accumulant au fil du temps dans les êtres vivants, notamment dans leurs graisses et dans la chaine alimentaire, ces substances sont susceptibles de provoquer des effets nocifs. Les POP sont mobiles sur de grandes distances. On en mesure, ainsi, des concentrations élevées loin des points de rejet, dans les lits des rivières où ils ont été rejetés mais aussi, là où on n’en a jamais utilisé, dans les mers ou en Arctique, par exemple.
Cette pollution des écosystèmes, des organismes vivants et de nombreuses denrées alimentaires entraîne une exposition à long terme d’une multitude d’espèces et des êtres humains.
La gestion des risques liés à ces substances a appelé des réponses au plan international et national, des conventions qui ont élargi progressivement les douze substances visées au départ. Les plans et mesures visent notamment les dioxines, les polychlorobiphényles (PCB), les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et des pesticides. »...
07/11 10:21 - Hervé Hum
@Francis, agnotologue certes, mais vous savez, les faits se moquent bien de nous et plutôt que (...)
07/11 09:21 - Francis, agnotologue
07/11 08:58 - Hervé Hum
@Francis, agnotologue toute communauté quelle que soit son nombre et système implique le (...)
06/11 18:48 - Francis, agnotologue
06/11 18:39 - Eric F
@Francis, agnotologue Prenons acte d’être en désaccord sur la qualification de (...)
06/11 11:46 - Francis, agnotologue
@Eric F ’’je connais aussi des gens pourtant instruits qui (...)
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