@Eric F
L’expérience en question, celle de Milton Rosenau, concerne la contamination et la propagation.
Je pense que vous n’avez pas pris connaissance de celle ci. Des personnes saines, mises en présence de malades de la grippe espagnole (la célèbre et terrible grippe espagnole) ne sont jamais tombées malades. Et il n’y avait pas « d’agent pathogène » utilisé : les personnes saines étaient mises en présence de « vrais malades », respiraient leur haleine, et ont même reçu des « injections » d’humeurs prélevées chez ces malades.
Rien n’y a fait : pas de contamination, zéro malade.
Je vous remets ci-après le protocole d’isolement et de purification d’un virus. C’est un total « non sens » scientifique sur lequel repose toute la supercherie, celle à laquelle vous croyez sans même prendre le temps « d’analyser » ce protocole.
Selon le biologiste italien Stephano Scoglio.
… « La réalité est que le virus du SARS-Cov-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe ” virus isolé ” à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR [Zhu N et al, A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019, N Engl J Med. 1, 2020 Feb 20 ; 382(8) : 727-733].
C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des virus :
“Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les virus par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultra-centrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire.” [Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4].
Alors, comment isoler un virus spécifique de cet énorme mélange de milliards de particules indiscernables, qui inclut les exosomes bénéfiques ?
Eh bien, on ne le fait pas, c’est impossible. »...