@Géronimo howakhan
Je viens de regarder les 10 premières minutes de cette vidéo. Je ne partage pas son contenu. Pour une chose essentielle d’ailleurs. Lorsque le journaliste qui interroge l’invitée lui demande ce qui « tue » les gens, elle répond qu’il s’agit d’entités issues de la technologie des nanoparticules.
En réalité, chaque année, dans le monde, 9 millions de personnes décèdent de la pollution, et cela fait beaucoup de monde. Il se trouve que lors de l’épisode « covid19 », les gros foyers de maladies respiratoires correspondaient très exactement avec les lieux où la pollution humaine était la plus importante.
Par ailleurs, les personnes touchées par la maladie respiratoire étaient celles qui présentaient un endothélium dégradé et une immunité diminuée par un système anti-oxydant amoindri. Et ces deux circonstances se retrouvent, majoritairement, chez les personnes âgées, pour des raisons parfaitement connues trop longues à expliquer ici. A savoir, que ces 2 dysfonctionnements majeurs, sont présents « systématiquement » chez les hypertendus, les diabétiques, les malades des coronaires, les insuffisants rénaux, les obèses. Nous avons ici « l’ensemble » des personnes susceptibles de décéder lorsque des périodes de pollution augmentée apparaissent, à savoir lors des inversions thermiques. La « communauté scientifique » d’Eric F, appelle ça « grippe » ou « covid », mais, en réalité, c’est bien la pollution atmosphérique, et ses toxines, qui décime les personnes sensibles et non un quelconque virus inventé pour la circonstance et pour d’immenses profits ultérieurs.
C’est bien notre système « anti-oxydant » qu’il faut choyer, qu’il faut renforcer. Et ça, c’est tout à fait possible. D’ailleurs, toutes les médications, dont Il a été question pendant cette folle période, sont en rapport « direct » avec un renforcement du système anti-oxydant humain (ivermectine, azithromycine, zinc, hydroxychloroquine).