@Eric F
J’ouvre votre premier lien et je lis la « méthodologie » appliquée par « isoler » et « purifier » le virus. Et je ne peux « que » constater que c’est ce que dénonce Stefan Lanka.
— Des cellules de reins de singe vert sont utilisées. Du sérum bovin est utilisé. Des antibiotiques et des antimycotiques sont utilisés.
N’importe quelle cellule humaine « saine » soumise à ce traitement, serait amenée à disparaître, soit par apoptose soit par nécrose. Et dans ces situations, les chercheurs savent pertinemment que la cellule va « émettre » et « libérer » des vésicules extra cellulaires et des exosomes. Le « déni scientifique » consiste à appliquer ce « protocole » sans jamais se poser la question du contrôle d’une solution témoin, le célèbre test randomisé en double aveugle, c’est à dire qu’un prélèvement de cellules saines seraient soumises à ce même protocole, et les résultats pourraient être « comparés ». C’est la « méthode » utilisée qui produit le résultat. Mais ceci il faut absolument le taire.
copié-collé :
... "Culture cellulaire, limitation de la dilution et isolement du virus.
Nous avons utilisé des cellules Vero CCL-81 pour l’isolement et le passage initial. Nous avons cultivé des cellules Vero E6, Vero CCL-81, HUH 7.0, 293T, A549 et EFKB3 dans du milieu essentiel minimal Dulbecco (DMEM) additionné de sérum bovin fœtal inactivé par la chaleur (5 % ou 10 %) et d’antibiotiques/antimycotiques (GIBCO, https://www.thermofisher.comLien externe). Nous avons utilisé des échantillons d’écouvillons NP et OP pour l’isolement du virus. Pour l’isolement, la dilution limite et le passage 1 du virus, nous avons pipeté 50 μL de DMEM sans sérum dans les colonnes 2 à 12 d’une plaque de culture tissulaire à 96 puits, puis pipeté 100 μL d’échantillons cliniques dans la colonne 1 et dilué en série 2 -replier sur l’assiette. Nous avons ensuite trypsinisé et remis en suspension des cellules Vero dans du DMEM contenant 10 % de sérum bovin fœtal, 2 × pénicilline/streptomycine, 2 × antibiotiques/antimycotiques et 2 × amphotéricine B à une concentration de 2,5 × 105 cellules/mL.
Nous avons ajouté 100 μL de suspension cellulaire directement aux dilutions d’échantillons cliniques et mélangé doucement par pipetage. Nous avons ensuite cultivé les cultures inoculées dans un incubateur humidifié à 37 ° C dans une atmosphère de 5% de CO2 et observé quotidiennement les effets cytopathiques (CPE). Nous avons utilisé des tests de plaque standard pour le SRAS-CoV-2, qui étaient basés sur les protocoles du SRAS-CoV et du coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) (9,10).