@Eric F
Malheureusement pour vous Eric F, je veux dire pour vos croyances, il n’y a pas « que » l’expérience de Milton Rosenau. Pourtant cette expérience a permis, simplement de constater, tout simplement de constater, que des personnes « saines » mises en présence de la terrible grippe espagnole ne tombaient pas malades.
Si vous avez une explication à fournir Eric F, vous pouvez la donner.
Par ailleurs, les masses d’air circulent, dans l’hémisphère Nord, d’Est en Ouest. La pollution générée en Asie traverse les continents, parvient en Europe et poursuit son chemin vers l’Amérique du Nord.
En revanche, ces masses d’air ne traversent pas les hémisphères. Ceci explique parfaitement bien « pourquoi » les malades de maladies respiratoires dans l’hémisphère Nord, durant l’hiver dans ces contrées, ne peuvent pas contaminer les habitants de l’hémisphère sud et Lycée de Versailles. Parce qu’il s’agit d’une maladie provoquée par des polluants atmosphériques, « non transmissibles », et que le« virus », inventé pour la circonstance, n’y est pour rien. Le « virus » pour les adultes mal informés, c’est comme le Père Noël pour les enfants. Le premier apporte la maladie respiratoire, le second les cadeaux. Dans les 2 cas, c’est une fiction.
Même sur le « Diamond Princess », une partie des passagers n’a connu aucun symptôme du maintenant fameux « covid ». La « contamination » et la « propagation » ne sont pas inter-humaine et n’existent pas. On ne se refile pas de maladies respiratoires, on se la « provoque » en respirant des toxines sous forme de matières particulaires polluantes en suspension dans l’air. Les périodes « d’inversions thermiques » sont cruciales à observer en période épidémique.
D’ailleurs, Eric F, je vous engage à vérifier par vous même. Lorsque la prochaine épidémie de maladie respiratoire, automnale ou hivernale, sera sur nous, vous pourrez faire le lien avec les taux de pollution. Soyez un observateur rigoureux. D’ailleurs, j’engage tous les lecteurs à le faire.
... " L’ondelette de COVID-19 à Tenerife et les tempêtes épidémiologiques signalées à Londres, Paris et le canton suisse du Tessin coïncident ou suivent des pics de concentrations de particules fines (PM2,5). Nous émettons l’hypothèse que la concentration de PM2,5 anthropiques ou désertiques dans les couches limites atmosphériques a exacerbé la morbidité et la mortalité liées au COVID-19 dans les cas présentés. Bien que nous ne puissions pas exclure la possibilité que de graves éclosions de COVID-19 se produisent en l’absence de concentrations élevées de PM2,5, nous observons des interrelations entre les inversions thermiques, les concentrations de PM2,5 et les hospitalisations et la surmortalité liées au COVID-19.
https://www-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/pmc/articles/PMC7679238/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc