@Legestr glaz
Vous rebouclez sur une impossibilité, celle de pouvoir ’’cultiver’’ des virus tous seuls dans leur tube à essai, donc il faut effectivement un substrat de support.
Néanmoins les techniques comme l’utracentrifugation et filtrage sont bien évidemment utilisées dans le processus pour isoler, comme pour les constituants cellulaires et les exomes. D’autres étapes sont liées à la nature spécifique virale.
C’est donc vous qui faites preuve d’incompréhension du problème en prétendant qu’il y aurait une bonne pratique qui ne serait sciemment pas utilisée ; or la méthode de culture est intrinsèquement adaptée à la nature de l’entité ; cellules, bactéries, virus...
Plus que ces questions ’’techniques’’, il est important de regarder la plausibilité de la thèse de ’’déni de l’existence des virus’’. Deux points clés ne me paraissent pas soutenables :
- la non-contagion d’humain à humain, et là je ne parle pas de telle expérience, mais de la réalité de terrain. La pollution ne se produit pas subitement de la même manière au 4 coins du monde pour faire apparaitre une nouvelle pathologie, arrivant d’abord dans tel quartier et se propageant au gré du déplacement des gens, et ne se propageant pas si une zone est complètement bouclée (comme en Chine).
- la génération spontanée de protéines et séquences génétiques (segments ADN/ARN) caractéristiques qui n’existe dans aucun autre organisme vivant.