@Eric F
copié-collé : « Vous rebouclez sur une impossibilité, celle de pouvoir ’’cultiver’’ des virus tous seuls dans leur tube à essai, donc il faut effectivement un substrat de support. »
Posons, en préambule, que ni les virus ni les vésicules extra cellulaires ni les exosmoses ne peuvent se multiplier seuls. Question : comment est-ce possible de parvenir, lors d’un prélèvement, à l’isolement des vésicules extracellulaieres alors que ceci, selon votre expertise, serait impossible pour des virus ?
Mais comment ce « prodige » serait-il possible ? La « centrifugation » ne fonctionnerait donc pas pour les virus, contrairement aux vésicules extra cellulaires ? Il n’y aurait pas suffisamment de virus dans le prélèvement chez des malades pour les isoler et les purifier ? La bonne blague !
Il faudrait donc amener ces « soi disants » virus à se multiplier dans leur « soupe » sans prendre en considération que des vésicules extra cellulaires et des exosomes vont être « expulsés » des cellules en culture lors de leur apoptose ou de leur nécrose ? Ceci n’est plus de la science mais du bricolage ! Parce que l’on sait que les cellules en culture vont « émettre » des vésicules extra cellulaires et des exosomes. Alors, la question qui se pose : qu’advient-il de ces vésicules que les chercheurs n’arrivent pas à distinguer des virus ?
Concernant la pollution, et bien « si », elle se produit à des moments très proches sur divers continents puisque les matières polluantes sont acheminées à travers les continents par les masses d’air allant d’Est en Ouest.
Et je rebondis sur ce point : expliquez nous alors comment il se peut que les Portugais vivent les mêmes maladies respiratoires, « au même moment » que les Suédois ? C’est le fait d’un miracle ? Portugal — Suède = 2000 km. Ils se contaminent les uns les autres ? Franchement, vous allez vite en besogne.
Concernant l’ARN (ou l’ADN) je vous répète pour la dixième fois au moins qu’il est déduit par l’informatique, grâce à un programme « concocté » par un être humain. On trouve ce que l’on veut bien trouver, comme l’aurait dit Karry Mullis.
Une nouvelle fois je vous demanderai d’être « attentif » aux phénomènes d’inversion thermique et aux moments de forte pollution. Vous verrez que les maladies respiratoires hivernales sont en lien avec le taux de pollution atmosphérique. Vous pouvez télécharger l’application IQair pour avoir connaissance de cette pollution en temps réel à un endroit donné.