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Commentaire de Legestr glaz

sur Des conséquences de la folie collective


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Legestr glaz Legestr glaz 3 novembre 2022 11:25

@Hervé Hum
 
C’est juste ce que vous écrivez : « Autrement dit, cela peut être déduit par l’informatique via un programme, mais ce dernier ne peut pas faire ce que l’on veut sans basculer dans l’imaginaire et sortir de la réalité. ».

Seulement, depuis que l’on applique le « protocole de 1952 », le programme décidé par l’Homme, reprend toujours à peu près les mêmes bases pour définir le génome viral ou la protéine de pointe. C’est comme ça que le système fonctionne : on prend appui sur ce que existe pour programmer l’ordinateur dans une certaine direction.

Par exemple cette thèse de l’année 2018 : « 

La modélisation de la protéine S du HCoV-229E a été réalisée en collaboration avec l’équipe du Dr Petrescu (Figure 13). Cette modélisation a été construite en utilisant la structure résolue par cryo-microscopie électronique de la protéine S du HCoV-NL63 (Walls et al., 2016a). Les protéines S des HCoV-229E et HCoV-NL63 sont proches, avec une homologie de 56%. »

Nous avons étudié si le clivage S1/S2 de la protéine S du virus HCoV-229E était nécessaire à l’activation de la fusion. Nous avons aussi déterminé quelle arginine de la région S2’ était reconnue par les protéases à sérine pour activer la fusion. Pour étudier l’entrée du virus HCoV-229E, nous avons utilisé un modèle de particules rétrovirales pseudotypées avec la protéine S du virus HCoV-229E. Ces particules sont constituées d’une nucléocapside rétrovirale (Murine Leukemia Virus) ayant incorporé un minigénome contenant un gène rapporteur, la luciférase, enveloppées d’une bicouche lipidique sur laquelle est enchâssée la protéine S de HCoV-229E.« 

Page 81.

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02275786/document


... »« Lorsque les cellules de notre organisme synthétisent des protéines, elles y apportent généralement des modifications dites post-traductionnelles, pour les rendre plus stables ou plus solubles dans le sang. La protéine Spike est ainsi glycosylée, c’est-à-dire que la machinerie cellulaire va y ajouter des sucres. Or, il n’est pas certains que la glycosylation opérée in vitro dans les cellules en culture soit identique à celle qu’opèrent les cellules humaines infectées in vivo. Il faut donc décrire avec précision la protéine synthétisée in vivo et la comparer avec la protéine recombinante obtenue in vitro, pour s’assurer que les tests diagnostiques et les vaccins qui l’utilisent comme cible sont les plus performants et les plus spécifiques possibles. »« .

https://www.inserm.fr/actualite/covid-19-mieux-decrire-proteine-spike-pour-ameliorer-diagnostic-et-perspectives-vaccinales/


Supercherie, au nom de la Science. La méthode scientifique est passée par pertes et profits mais, puisque le but de la manoeuvre est de produire des »vaccins« , tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.


Lisez ce baratin sur la vaccination contre le »virus« de la rougeole. Tout ceci a l’apparence de la scientificité mais tout est faux. En effet, il n’existe aucune preuve de l’existence du virus de la rougeole. Ceci a été démontré par Stefan Lanka qui a gagné, en Allemagne, en seconde instance, un procès qui lui avait été intenté alors qu’il affirmait que le virus de la rougeole n’existait pas. Aujourd’hui il est impossible d’affirmer que ce virus existe puisqu’il n’existe pas de preuve de son existence. Mais on »vaccine" quand même ! 
https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/meas.html


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