@Legestr glaz
’’ Ceci a été démontré par Stefan Lanka qui a gagné, en Allemagne, en
seconde instance, un procès qui lui avait été intenté alors qu’il
affirmait que le virus de la rougeole n’existait pas’’
Il avait fait le pari qu’il n’existait pas un document établissant la preuve de l’existence de ce virus, le dossier produit par l’étudiant qui a relevé le défit comportait plusieurs pièces qui séparément n’étaient pas déterminante, c’est sur ce point que portait le terrain judiciaire. L’étudiant (désormais médecin) avait gagné le premier procès et Lanka a gagné en appel, la cour fédérale n’a pas statué ’’pour ou contre’’ l’existence du virus mais sur la nature probante ou non du dossier.
Les experts en biologie, virologie, épidémiologie etc. devrait sérieusement se retrousser les manches sur les lacunes soulevées, la science ne progresse qu’au travers de la résolution des insuffisances théoriques et expérimentales. Ça fait longtemps qu’il aurait du y avoir un congrès contradictoire sur la question des ’’preuves’’ et un plan de travail pour les consolider. leur laxisme fait le lit de leurs contradicteurs plus dynamiques qu’eux dans la communication, ils n’ont pas à se plaindre de la propagation des doutes et réticences.