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Commentaire de Guy Troisbord

sur Danse à Sciences Po : rififi de genre chez les zombies


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Guy Troisbord 15 décembre 2022 14:12

@njama
Vous ne vous rendez pas compte de l’ignominie de vos propos ! Je vais vous dénoncer à S. Rousseau si ça continue.

C’est affreux ce que vous écrivez (et sans doute, sans vous en rendre compte ! espèce de « mal déconstruit ») : dans leader/follower, il y a une insupportable notion de supériorité. Si vous étiez réellement déconstruit (comme tout homme blanc qui se respecte) vous devriez dire « danseur 1/danseur 2 », ou -pour faire plus anglais — « dancer one et dancer two ». Ah mais non en fait ! c’est une injure de sous-entendre que le 1 est supérieur au 2 ! On va donc dire : dancer and dancer (en plus comme l’anglais n’a pas de genre), plus de masculin ou de féminin. Quoique si on prononce « dansoeur » (à l’anglaise), on retombe sur le problème initial... Et puis d’abord, c’est quoi cette idée de danser à deux ? Ils peuvent pas faire des rave party sous acide comme tout le monde ? 

SIgné : un-e femme-homme qui rêve d’être couleur arc-en-ciel pour ne blesser personne et qui a adopté un surmulot et qui va travailler jusqu’à la mort avec son exosquelette (acheté en euros numériques) pour rembourser les dettes créées par les mauvais citoyens qui ont le toupet de se chauffer l’hiver et de manger le soir.

J’ai bon là ? J’ai gagné combien de points sur mon crédit social ?

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