@Francis, agnotologue
Effectivement, toutes les pathologies en lien avec le système respiratoire peuvent très facilement s’expliquer par la présence d’agents pathogènes (polluants atmosphériques, bactéries, spores, poussières, PM, HAP) dans l’air que nous respirons.
Toutes les explications tiennent sans aucun problème en faisant totalement abstraction des « virus », en réalité de simples « artefacts ». Il n’y a aucun hasard à voir ces maladies respiratoires se développer lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées. Et on s’aperçoit de la supercherie qui consiste à dire que les « virus » accompagnent« les matières atmosphériques issues de la pollution, sont plus »présents« lorsque l’air est sec et détériore le système de défense des voies respiratoires.
Et c’est bien parce que ces virus ne sont que des artefacts, c’est à dire une vue de l’esprit, que les »vaccins« pour lutter contre les infections respiratoires dites »virales« , n’ont jamais fait l’objet de recherches scientifiques pour »prouver« leur efficacité. Ces études, sur l’efficacité vaccinale, sont inexistantes. Il faut croire qu’elles sont beaucoup trop couteuses et que les industriels du vaccin n’ont pas les moyens financiers pour les faire réaliser. Les pauvres.
J’aime bien citer cette étude où les »virus« sont transformés en simple »co-facteurs« .
Brume, particules fines et flambée de mortalité due au COVID-19 dans la région de Londres
Une inversion thermique, des pics de PM2,5 et la progression des hospitalisations et de la mortalité liées au COVID-19 au Tessin
Brouillard, inversion thermique, taux de PM2,5 et progression de la mortalité en Île-de-France
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7679238/
... » L’ondelette de COVID-19 à Tenerife et les tempêtes épidémiologiques signalées à Londres, Paris et le canton suisse du Tessin coïncident ou suivent des pics de concentrations de particules fines (PM2,5). Nous émettons l’hypothèse que la concentration de PM2,5 anthropiques ou désertiques dans les couches limites atmosphériques a exacerbé la morbidité et la mortalité liées au COVID-19 dans les cas présentés. Nous observons des interrelations entre les inversions thermiques, les concentrations de PM2,5 et les hospitalisations et la surmortalité liées au COVID-19. Contrairement au lien supposé entre la température ou l’humidité de l’air et le COVID-19, pour lequel les preuves sont généralement faibles, voire contradictoires, nous suggérons une dépendance entre la propagation et la virulence du COVID-19 avec le degré de pollution de l’air (en termes de concentrations de PM2,5). Nous observons que lors de situations à forte prévalence de COVID-19 et de conditions météorologiques défavorables, telles que de fortes inversions thermiques, ces dernières peuvent bien moduler, voire augmenter, la morbidité et la mortalité.
Si des inversions thermiques se produisent dans un contexte de fortes émissions générées par la combustion et de vitesses de vent modérées, les concentrations de PM2,5 atteindront probablement des valeurs très élevées, bien au-delà des seuils recommandés, et favoriseront ainsi des conditions particulièrement dangereuses pour les infections respiratoires basses aiguës . Nous observons que lors de situations à forte prévalence de COVID-19 et de conditions météorologiques défavorables, telles que de fortes inversions thermiques, ces dernières peuvent bien moduler, voire augmenter, la morbidité et la mortalité.
Si des inversions thermiques se produisent dans un contexte de fortes émissions générées par la combustion et de vitesses de vent modérées, les concentrations de PM2,5 atteindront probablement des valeurs très élevées, bien au-delà des seuils recommandés, et favoriseront ainsi des conditions particulièrement dangereuses pour les infections respiratoires basses aiguës. Sur la base des observations et du lien documenté entre les niveaux élevés de particules fines et l’exacerbation des infections virales, nous concluons que la suspicion de concentrations élevées de PM2,5 aggrave la morbidité et la mortalité liées au COVID-19 est à la fois raisonnable et plausible."...
31/12 09:03 - Massada
@chantecler Oui, mais c’est normal, c’est l’hôpital qui a le monopole de (...)
31/12 09:01 - Massada
Communiqué du général Igor Konachenkov porte-parole de la Défense de l’Empire de Russie : (...)
31/12 08:55 - chantecler
30/12 19:30 - Durand
@Massada ”enculé” est une insulte que quand tu la prends, tu la garde. Tiens, (...)
30/12 16:47 - Massada
30/12 11:44 - Massada
@charlyposte Votre demande répétitive de sources faite de manière abusive constitue bien du (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération