@Eric F
Il faut arrêter de se moquer du monde. Il est très facile de « constater » que les épidémies de maladies respiratoires hivernales laissent sur le carreau toujours les mêmes personnes.
Parce qu’à l’examen, ce sont toujours et systématiquement des personnes présentant un même profil qui tombent gravement malades et/ou qui décèdent des infections respiratoires hivernales. Et ces personnes ont 2 points communs
— Un endothélium vasculaire dégradé
— Un système anti-oxydant en péril
Lorsque l’on sait que les matières particulaires polluantes atmosphériques provoquent de l’hypertension, font dysfonctionner l’endothélium vasculaire, provoquent de la détresse respiratoire, des AVC, des infarctus du myocarde, alors le « profil » de certaines personnes, celles présentant certaines pathologies bien précises comme l’hypertension, du diabète, de l’obésité, de l’insuffisance rénale, sont aux toutes premières loges pour être candidates à une forme « grave » . Mais, en l’occurence, c’est un taux de pollution augmentée qui les rend malades et qui les tuent lorsque certaines conditions atmosphériques sont rassemblées. Les virus sont des « artefacts » bien utiles à l’industrie du vaccin. La théorie virale est une supercherie gigantesque.
J’ajoute que les personnes au profil exposé ci-dessus sont également des personnes qui ont un taux de glucose sanguin pratiquement toujours trop élevé. Ce glucose sanguin élevé est à l’origine de la dégradation du liquide de surface des voies respiratoires (ASL) et du dysfonctionnement des mécanismes de défense des voies respiratoires. Les agents pathogènes de la pollution, lorsque celle-ci est augmentée, lors des inversions thermiques par exemple, peuvent investir facilement les organismes moins protégés et commettre des dégâts pouvant être mortels.