@Eric F
Vous refusez d’examiner la « réalité ». Pas de contagion hémisphére « Nord-Sud », pas de contagion dans les familles.
Par ailleurs, ces virus ne tuent personne. Ce sont les infections bactériennes qui sont meurtrières. Et c’est bien la pollution atmosphérique qui provoque les infections bactériennes dans des organismes diminués. Les « virus », jamais isolés, sont des « artefacts ». Tant que vous ne produirez pas une étude qui montre l’isolement et la purification d’un virus, vous aurez tort sur toute la ligne parce que vous n’aurez toujours rien prouvé. Et ces études n’existent pas puisque c’est toujours le « surnageant » qui est utilisé pour le « pseudo » isolement. Et ça, vous le savez. Et ce surnageant contient toutes les entités de tailles manométriques, comme les exosomes et les vésicules extra cellulaires.
Quant à la pollution atmosphérique, je vous en donne des nouvelles :
... « Streptococcus pneumoniae (le pneumocoque) est la principale cause de pneumonie et de méningite bactérienne. Un certain nombre d’études récentes indiquent une association entre l’incidence des maladies pneumococciques et l’exposition à la pollution atmosphérique. Bien que les preuves épidémiologiques soient substantielles, les mécanismes sous-jacents par lesquels les divers composants de la pollution atmosphérique (matières particulaires et gaz tels que NO 2 et SO 2) peuvent augmenter la susceptibilité à l’infection pneumococcique sont moins bien comprises. Dans cette revue, nous résumons les divers effets des composants de la pollution atmosphérique sur la pathogenèse et la transmission des pneumocoques ; l’exposition à la pollution de l’air peut augmenter la sensibilité de l’hôte à la colonisation pneumococcique en altérant l’activité mucociliaire de la muqueuse des voies respiratoires, en réduisant la fonction et la production de peptides antimicrobiens clés et en régulant à la hausse un important facteur d’adhérence pneumococcique sur les cellules épithéliales respiratoires. L’exposition aux polluants atmosphériques peut également altérer la capacité de destruction phagocytaire des macrophages, permettant une réplication accrue de S. pneumoniae. De plus, il a été démontré que les matières particulaires activent divers récepteurs extracellulaires et intracellulaires des cellules épithéliales des voies respiratoires, ce qui peut entraîner une production accrue de cytokines pro-inflammatoires. Cela augmente le recrutement des cellules immunitaires innées, y compris les macrophages et les neutrophiles. La réponse inflammatoire qui s’ensuit peut entraîner des lésions tissulaires importantes, augmentant ainsi la sensibilité aux maladies invasives, car elle permet à S. pneumoniae d’accéder aux tissus sous-jacents et au sang. Cette revue fournit une compréhension approfondie de l’interaction entre la pollution atmosphérique et le pneumocoque, qui a le potentiel d’aider au développement de nouveaux traitements ou de stratégies alternatives pour prévenir les maladies, en particulier dans les zones à forte concentration de pollution atmosphérique. »...
31/12 09:03 - Massada
@chantecler Oui, mais c’est normal, c’est l’hôpital qui a le monopole de (...)
31/12 09:01 - Massada
Communiqué du général Igor Konachenkov porte-parole de la Défense de l’Empire de Russie : (...)
31/12 08:55 - chantecler
30/12 19:30 - Durand
@Massada ”enculé” est une insulte que quand tu la prends, tu la garde. Tiens, (...)
30/12 16:47 - Massada
30/12 11:44 - Massada
@charlyposte Votre demande répétitive de sources faite de manière abusive constitue bien du (...)
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