@Legestr glaz

Suite avec les nanoparticules (particules fines et ultrafines comprises).

Le développement de nanomatériaux manufacturés connaît une croissance exponentielle, malgré les inquiétudes concernant leurs similitudes potentielles avec les nanoparticules environnementales associées à une morbidité et une mortalité cardiorespiratoires importantes.

Les mécanismes par lesquels l’inhalation de nanoparticules pourrait déclencher des événements cardiovasculaires aigus émergent, mais une question fondamentale reste sans réponse : les nanoparticules inhalées se transloquent-elles du poumon chez l’homme et contribuent-elles directement à la pathogenèse des maladies cardiovasculaires ?

... Ici, nous démontrons que les nanoparticules inhalées passent du poumon à la circulation chez l’homme, où elles s’accumulent aux sites d’inflammation vasculaire. La translocation des particules dépendait de la taille, avec une plus grande translocation et une accumulation de nanoparticules plus petites. Ces observations suggèrent un rôle direct de la taille des particules pour les nanoparticules inhalées dans la pathogenèse des maladies cardiovasculaires et fournissent un mécanisme par lequel l’exposition aux nanoparticules dérivées de la combustion et aux nanoparticules fabriquées peut favoriser l’athérosclérose et déclencher des événements cardiovasculaires aigus.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28443337/

Quant aux « virus artefacts », ils ne sont à l’origine d’aucun dysfonctionnement. Les gens ne meurent pas de ces artefacts, les particules de la pollution atmosphérique provoquent assez de décès comme ça chez les personnes au taux de glucose sanguin trop souvent trop élevé. Ce sont ces personnes, très précisément, qui décèdent des attaques des matières polluantes atmosphériques. Il n’y a aucun mystère là dessus, on sait par avance quel est le profil des personnes qui décèderont des maladies respiratoires hivernales dues à la pollution atmosphérique quand viendra le temps des inversions thermiques.