@Legestr glaz
1) POINTS DE DESACCORD TOTAL
Les débuts de l’épidémie covid démentent irréfutablement la prétendue étanchéité entre hémisphères puisqu’il y a eu propagation en quelques semaines dans des pays des deux hémisphères -le Brésil a été touché dès Mars 2020 via des malades venant d’Italie, premier décès 17 mars-.
La question de saisonnalité tient au fait que les conditions climatiques rendent les personnes plus vulnérables et les circonstances de contamination plus fréquentes, ce qui conduit à un taux de contagion supérieur au seuil de déclenchement épidémique. Mais il peut y avoir des malades résiduels en toute saison.
Nier la contagion sur la base de vielles expériences est dépassé, on sait désormais dépister et tracer, c’est vous qui niez les réalités, et plus gravement qui laissez croire qu’un malade n’a aucune précaution à prendre pour éviter de contaminer les autres et peut tousser au nez des personnes vulnérables.
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Ce qui ne fait rigoler, c’est qu’il y a moins d’un an vous défendiez le fait que la contamination se faisait par aérosols respiratoires, vous en avez écrit des tartines sur ce point. Et tout d’un coup vous vous entichez de la vieille thèse anti-germe qui se propage viralement dans le courant ’’anti-système’’ (Francis, Décoder l’Eco et d’autres se convertissent également). Retour de mode, demain ce sera le clystère.
2) POINTS D’ACCORD
OUI, la pollution a des effets délétères sur les voies respiratoires, qui entraine ou aggrave des maladies.
OUI le déséquilibre alimentaire et l’usure physiologique du patient le rendent plus vulnérable,
....mais cela n’efface ni le virus, ni la contagion !
Concernant l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, l’effet anti-oxydant que vous mentionnez explique sans doute l’efficacité constatée sur le terrain contre les formes symptomatiques du covid.