@Eric F
Ce sont simplement des études scientifiques, ne vous en déplaise.
Et ces études évoquent chacune des circonstances particulières de pathologies en lien avec la pollution. Je les poste, parce que de nombreuses personnes, comme vous d’ailleurs, ignorent ce genre de choses. Ce qui n’est pas du tout une critique d’ailleurs. Nombreux sont ceux qui prennent ces informations pour ce qu’elles sont, à savoir : des informations. Vous, au contraire, vous vous raidissez et cela vous déplait de commencer à comprendre que le mensonge du pseudo virus-artefact est terrible.
— Pollution et stress oxydatif
— Pollution et hypertension
— Pollution et AVC
— Pollution et crises cardiaques
— Pollution et pneumonie
— Pollution et détresse respiratoire
— Pollution et coagulation
— Pollution et thrombose
Quant aux inhalations, elles permettent de réguler la production de mucus et de favoriser le bon fonctionnement du liquide de surface des voies respiratoires -ASL-, parce que tout commence par là lors des attaques de pollution. Laissez les « virus » là où ils devraient être, c’est à dire dans le néant. Ce ne sont pas des « virus-artefacts » qui vous rendent malade, mais des polluants atmosphériques.
Parce que l’air que vous respirez doit être :
1°) réchauffé
2°) humidifié
3°) purifié
Et en hiver, le travail des voies respiratoires supérieures est augmenté (l’air est trop froid et trop sec) ce qui peut altérer la formation du mucus et sa qualité ainsi que son évacuation. Et lorsqu’il est chargé de matières polluantes, vous êtes en présence du triptyque le plus dangereux pour l’organisme.