@Eric F
Je nie la transmission virale parce que celle ci n’a jamais été démontrée et que, où que l’on regarde, demeure « invisible ».
— Hémisphères Nord-Sud
— Paquebot « Diamond Princess »
— Expérience Milton Rosenau
— Synchronicité épidémique en Europe, du Portugal à la Suède
— Milieu familial : certains ne tombent pas malades.
Les maladies respiratoires hivernales ne sont pas des maladies « transmissibles ». Ce sont des maladies qui atteignent les personnes dont les mécanismes de défense des voies respiratoires sont défaillants, pour des raisons que l’on comprend maintenant, en lien avec des habitudes de « consommation » inappropriées sur du temps plus ou moins long, en présence d’agents pathogènes de la pollution.
Et, concernant les matières particulaires polluantes, malheureusement, les PM inférieures à 2,5 microns, ne sont pas mesurées, et, pourtant, c’est bien l’extrême petite taille de ces particules qui portent les plus grands dangers pour la santé. Oui, grâce aux filtres à particules l’industrie a pu « bloquer » les grosses particules (celles provenant du diesel par exemple), mais les plus petites restent insaisissables, malheureusement. Et, puisqu’on ne les mesure pas, leur action sur la santé est très mal estimée. Les chercheurs savent qu’elles sont pourtant très délétères pour la santé. L’action des particules « ultrafines » sur la santé reste, effectivement, « sous-documentée ».
Le problème n’est pas celui de la « quantité » de morts dus à la pollution, le problème c’est bien de mettre en exergue cette pollution pour que les gens en prennent vraiment conscience et s’en protègent. Sans pédagogie sur le sujet, les populations continueront à commettre les mêmes erreurs et à ne pas se protéger correctement. Et la théorie virale est une « nuisance » absolue dans cette prise de conscience.
Se protéger de la pollution ce n’est vraiment pas pareil que de se protéger contre des « pseudo-virus-artéfacts ». Se protéger de la pollution c’est prendre soin des mécanismes de protection de ses voies respiratoires, c’est faire usage d’anti-oxydants, c’est faire en sorte de respirer un air suffisamment humide et réchauffé lorsque les conditions atmosphériques ne sont pas favorables. Tous les établissements hébergeant les populations sensibles à la pollution atmosphérique devraient être équipés, durant la période automne-hiver, d’humidificateurs et de purificateurs d’air. Le contrôle de la qualité de l’air respiré dans ces lieux devrait être un souci quotidien. Et cela s’applique autant à nos aînés qu’aux enfants, sensibles, eux aussi, à la qualité de l’air. Protéger les enfants et les anciens devrait être une obligation sociétale. Mais on assiste maintenant à une dérive terrible avec la « vaccination » qui, hélas, ne protège de rien du tout.
31/12 09:03 - Massada
@chantecler Oui, mais c’est normal, c’est l’hôpital qui a le monopole de (...)
31/12 09:01 - Massada
Communiqué du général Igor Konachenkov porte-parole de la Défense de l’Empire de Russie : (...)
31/12 08:55 - chantecler
30/12 19:30 - Durand
@Massada ”enculé” est une insulte que quand tu la prends, tu la garde. Tiens, (...)
30/12 16:47 - Massada
30/12 11:44 - Massada
@charlyposte Votre demande répétitive de sources faite de manière abusive constitue bien du (...)
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