@Jonas

Bonjour Jonas,

Je comprends ce que vous ressentez mais que faire, il n’y a rien à faire. Ce qui se passe en France relève de ce qu’a fait la France durant son expansion sur le monde. Vous allez me dire c’était le passé, mais le passé poursuit le présent et l’avenir.

Ces métèques ne sont pas venues en France d’eux-mêmes, on les a fait venir pour aider la France face à l’Allemagne en 1914 et 1939. Et la situation s’est enroulée et la France avec les pertes humaines avaient besoin de l’émigration tant européenne (portugaise, italienne...) qu’africaine. Le monde est ce qu’l est.

Je comprends que la Courneuve, la Seine-Sain-Denis est plein de métèques (arabes, noirs, juifs, et autres.) mais c’est ainsi, et ces gens ne sont pas plus heureux combien même ils vivent en France, qui est un des pays les plus riche du monde ; il fait partie du G7, et c’est la deuxième puissance de l’Union européenne.

Donc c’est une situation malheureusement qui est ainsi, et ces millions de migrants participent malgré tout à la renommée de la France. A voir le foot-ball, une France qui gagne, à voir le taux de fécondité en hausse par rapport à l’Allemagne que Angela Merkel a été obligé de « recruter » un million de migrants dans les années 2010 en leur donnant la nationalité allemande pour compenser la chute démographique et la chute du travail.

Et ces migrants comptent. Quant à « la France tremble à chaque fois qu’elle affronte un pays africain dans un match de foot, toutes les banlieues sont mises à feu et à sang ? « La France, on vous encule ! », « nous, les arabes, on est là pour la carte Vitale ! » scandent les nouveaux français, l’avenir de la France ?’

Ce n’est pas faux ce qu’ils disent, en effet, les migrants ont compris qu’ils sont les dindons de la farce, qu’ils sont là pour la »carte vitale". En fait, ces migrants, ces Arabes ne projettent que leur mal-vie alors qu’en réalité la mal-vie touche toutes les couches sociales européennes et non-européennes qui vivent en Europe.

Quand à tuer la France, c’est idiot si cela est crié sauf que ce doit être l’angoisse de l’existence qui fait dire ces mots et souvent on se réfugie sur tout, la drogue aussi pour oublier sa misère. On ne peut tuer une France qui les fait nourrir.

Donc, Jonas, le pessimisme est une chose, et le réalisme est une autre chose. La seule sortie est de comprendre que personne n’est responsable de ce qui arrive, il faut faire avec. En clair, il faut se faire une raison que malgré tout il faut vivre et accepter cette situation la mieux possible. Et tout est possible pour peu que l’on comprenne, que l’on veuille comprendre que c’est la souffrance de l’autre qui veut la projeter sur les autres que l’on croit qu’ils ne souffrent pas parce qu’ils sont mieux lotis.

Voilà, Jonas, et merci pour votre commentaire, il est à sa place et très d’actualité, normalement l’État français doit expliquer inlassablement à ces populations le problème de fond, mais c’est très difficile.