@yakafokon
« Les vaccins » n’ont jamais prouvé leur efficacité, jamais, jamais, jamais. Pas une seule étude scientifique à l’horizon pour démontrer cette « pseudo-efficacité ». La vaccin « russe » est à ranger dans la même catégorie.
Les « vaccins » ne peuvent pas être efficaces contre les maladies respiratoires hivernales parce que celles ci sont provoquées par des polluants atmosphériques (SO2, NO2, CO, COV, HAP, MP10, MP2,5, MP0,1, les métaux lourds, mycotoxines). Les maladies respiratoires hivernales s’abattent sur des organismes fatigués lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées et provoquent une augmentation du taux de pollution atmosphérique dans les couches basses de l’atmosphère (en situation d’inversion thermique).
https://www.fne-aura.org/actualites/isere/inversion-thermique-et-pollution-atmospherique-une-liaison-dangereuse/
https://www.tameteo.com/actualites/science/meteo-et-pollution-qu-est-ce-que-l-inversion-thermique-danger-sante-pollution-particules-fines-france.html
Systématiquement, ce sont les mêmes « profils » de personnes qui tombent gravement malades et/ou qui décèdent des maladies respiratoires hivernales. Les faits nous montrent que c’est bien une pollution atmosphérique augmentée qui agresse des organismes diminués (endothélium vasculaire altéré et système anti-oxydant dégradé). Les « virus » sont des artefacts qui naissent de la « méthodologie » (mauvaise méthodologie) appliquée pour le pseudo isolement et la pseudo isolation.
Les maladies hivernales respiratoires s’expliquent bien plus facilement par l’agression des polluants atmosphériques que par l’intervention de « pseudo virus », lesquels ne sont jamais retrouvés dans la circulation sanguine.
La pollution est partout, les microplastiques peuvent être « aérosolisés ». Les oiseaux marins paient un lourd tribu à cette accumulation de pollution atmosphérique que l’on appelle, pour camoufler l’affaire : « grippe aviaire ».
... « Les façades maritimes sont également régulièrement soumises à des épisodes de pollution aux particules, de taille en général supérieure à 10 µm. Ces particules « maritimes » sont très différentes des autres, car il s’agit essentiellement d’embruns marins, peu toxiques en raison de leur composition (chlorure de sodium, iode). Malheureusement, en raison de la pollution de plus en plus présente de nos mers et océans, ces particules contiennent régulièrement des polluants de type hydrocarbures microplastiques. »...
https://www.nature.com/articles/s43247-020-00061-y
https://www.geo.fr/environnement/goelands-fous-de-bassan-quand-la-grippe-aviaire-decime-les-oiseaux-despeces-sauvages-211772
En évoquant des « vaccins » nous nous trompons totalement de cible.