• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Legestr glaz

sur 2022, une année traversée par le brouillard, 2023 aussi


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Legestr glaz Legestr glaz 4 janvier 2023 09:00

@Legestr glaz

Suite...

... « Les vésicules extra cellulaires (VE) suscitent un intérêt croissant lié à leur capacité à transférer du contenu biologique entre cellules. Les VE, émises dans l’espace extra cellulaire, circulent via les différents fluides de l’organisme et modulent localement ou à distance les réponses des cellules avec lesquelles elles ont interagi. Des données cliniques et expérimentales étayent leur rôle dans les maladies liées au syndrome métabolique. Les VE bousculent la vision traditionnelle de la communication intercellulaire et représentent ainsi un mode de communication alternatif et versatile, qui ouvre la porte à de nouveaux concepts et opportunités tant biologiques que thérapeutiques.Les VE correspondent à des nanovésicules qui sont dérivées des membranes cellulaires et sont sécrétées dans le milieu extracellulaire. Elles circulent à la faveur des nombreux fluides de l’organisme (sang, lymphe, urine, lait, etc.). Ces vésicules, hétérogènes en taille et d’origines cellulaires diverses, ont reçu de nombreuses dénominations : exosomes, microvésicules, microparticules, prostasomes, oncosomes, neurosphères, corps apoptotiques, etc. Une nomenclature a récemment été proposée par la communauté scientifique internationale distinguant essentiellement deux sous-types de VE : les microvésicules (MV) et les exosomes »...


De très nombreuses études explorent ce « nouveau monde » des vésicules extra cellulaires. Il est donc aisé de se faire une idée plus précise sur leur existence et leurs modes d’action.

Pour conclure : compte tenu de la dimension manométrique des pseudo virus (comme des VE) il est impossible de modifier quoi que se soit chez des entités si petites. Il n’y a pas de « gains de fonction » pour ces entités. Ces gains de fonctions concernant les « nanoparticules ».

... "La production de nouvelles formes de nanoparticules fabriquées/conçues est de plus en plus préoccupante à mesure que la nanotechnologie continue de les développer et de les fabriquer. Ceux-ci forment une pléthore de types de particules qui comprennent des nanotubes, des fullerènes, des points quantiques et des particules composées de divers types. 

Alors que les informations sur la toxicité de nouveaux types de nanoparticules (NP) s’accumulent, il s’agit principalement d’études in vitro , avec peu d’études animales ou humaines. Les connaissances toxicologiques existantes concernant les NP sont presque entièrement basées sur les nanoparticules dérivées de la combustion (CDNP) présentes dans l’air ambiant. Évoluant de « l’hypothèse ultra-fine ».Ce volet de la recherche s’est concentré sur le CDNP comme la suie diesel puisque ce composant de la matière particulaire (MP) est considéré comme un élément clé médiant les effets néfastes sur la santé. Le mécanisme au niveau cellulaire est compris en termes de capacité des particules à provoquer un stress oxydatif et une inflammation et à se déplacer à partir du site de dépôt.Cette revue s’appuie sur les NP environnementales et leurs mécanismes, en tant que paradigme de base, puis aborde la toxicologie des NP manufacturées. 

La porte d’entrée des NP discutées ici est les poumons et les effets toxiques qui y sont observés sont discutésDe plus, les poumons et le système cardiovasculaire sont intimement liés et la littérature sur les PM10 indique clairement que le système cardiovasculaire est un système cible principal pour les effets néfastes des PM.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès