@titi
N’auriez-vous donc comme argument que de nier les évidences et comme méthode que de travestir la réalité ?
S’agissant de défendre des Russes et assimilés contre des massacres à l’arme lourde, de répondre à des menaces expresses d’attaques contre le territoire de la Fédération de Russie et de génocides aux armes de destructions massives (telles qu’elles ont été proférées par le régime de Kiev), ou encore de la « mise au pas » et du démantèlement du pays par les Américains, ici il ne saurait être juste question de Poutine et de son régime.
En bon suppôt de l’ordre mondial unique américain, vous ne semblez pas supporter que Poutine puisse s’acharner à défendre les intérêts de son pays contre le régime de Washington qui, lui, n’a vraiment rien à faire en Russie (tout comme il n’a rien à faire en Chine, ni même en Europe occidentale alors que nous en subissons le joug quotidiennement par dictature atlantiste et ultralibérale interposée).
Vous semblez ne pas vous rendre compte que Poutine est un modéré et un libéral, dont la seule faiblesse est d’avoir trop fait confiance à l’Occident, qu’il qualifie maintenant avec force raison d’« Empire du mensonge ».
Le jour où il tombera, à moins que les États-Unis parviennent à le remplacer par un dictateur à leur botte (ce qui paraît hautement improbable compte tenu de l’« amour » viscéral des Russes pour les Yankees et de la leçon que ces derniers viennent encore de leur donner), il le sera très certainement par un personnage bien moins conciliant, qui commencera probablement par vous envoyer des bombes nucléaires sur la tronche pour vous apprendre à vous mêler de vos affaires, ou encore des chars pour vous apprendre le véritable sens du mot « impérialisme ».