@eau-mission
Concernant le boson de Higgs, je m’étais naguère intéressé à la physique fondamentale, mais j’ai décroché depuis plusieurs années, il semble avoir été identifié au travers de ses effets dans le cadre de collisions, mais on n’est pas dans le domaine d’observations de la particule en tant que telle.
Le cas du virus est d’une toute autre nature, il est de taille observable, de composition analysable, et de codage génétique identifiable. Le débat vient du fait qu’il faut le discerner par rapport à son environnement dans les cultures pour le faire se reproduire, mais la conjonction des différents ’’éléments de preuve’’ me parait robuste.
Et aussi, prenons le problème en sens inverse, la théorie de ’’déni du virus’’ conteste qu’il y ait contagion, ce qui n’est pas tenable. Elle n’explique ni les segments génétiques ni les protéines ne correspondant à aucun élément entrant dans la culture. Prétendre que les méthode d’analyse qui marchent pour tout le reste du monde biologique seraient défaillantes juste pour les segments génétiques et protéines virales ne tient juste pas debout.
Mais attention, certains arguments exprimés par les négateurs du virus sont à prendre en considération, comme l’importance de l’état général de la personne face à la maladie, et l’importance de l’environnement (saison, climat, pollution...) dans la sensibilité à la maladie, et dans sa propagation.