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Commentaire de Legestr glaz

sur De plus en plus de jeunes croient aux « vérités alternatives »


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Legestr glaz Legestr glaz 24 janvier 2023 11:19

@Eric F

Aucune diffamation, je ne rapporte « que » et « uniquement que » des faits. Celui qui nie des faits est un menteur. Visiblement vous ne savez pas ce que signifie une diffamation. Vous ne connaissez pas les éléments constitutifs de l’infraction portant le non de « diffamation ». 

Restez sur vos positions mais vous allez à l’encontre des faits. Les « théories scientifiques » doivent toutes être discutées. Si un seul fait « dément » la théorie, alors c’est que la théorie est fausse. Les faits, eux, ne sont pas faux. Ce sont des faits.

La propagation virale est démentie par les faits. La propagation virale est une « théorie ». Mais vous ne l’acceptez pas et vous mentez pour faire tenir cette théorie virale boiteuse. Vous refusez d’examiner les faits. J’en ai posé quelques uns et vous êtes « sec », à court d’argument, puisque les faits sont..... des faits.
— Pas de « propagation en Europe : tout le monde est malade »en même temps« 
— Pas de propagation inter hémisphères
— Pas de contamination chez les personnes saines de la grippe espagnole.

Ce sont des faits »incontestables« Eric F, vous ne pouvez même pas les contester tellement ils sont limpides. Vous vous accrochez à une »théorie« qui ne tient pas devant les faits. Et ce n’est pas parce que les médias de masse n’en parlent pas qu’ils n’existent pas.

Oui je nie la contagion parce que les faits nous montrent que ce ne sont pas les personnes qui se contaminent les unes les autres, mais que ce sont des circonstances »extérieures« qui font que »certains« tombent malades et pas d’autres. Et les épidémies de maladies respiratoires hivernales se développent »uniquement« lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées. Et ces conditions météo rassemblées font que les niveaux de pollution sont particulièrement augmentés. Et tout le monde ne tombe pas malade : il faut des »prédispositions« . Tout ceci est très clair, ce sont »des faits« mais, votre dissonance cognitive vous empêche de les prendre en considération. l n’y a pas »d’épidémie virale« (c’est à dire d’épidémies de maladies respiratoires) en période dépressionnaire. Jamais Eric F, jamais. Il faut des conditions »anticycloniques« pour que des maladies respiratoires apparaissent en hiver. Et certaines de ces conditions font que la pollution augmente considérablement. Et les personnes au système immunitaire diminué tombent malades, pas les autres. 
Et des titres comme celui ci, du 20 janvier 2023 : »GRIPPE 2023. Il y a une nette diminution des indicateurs de la grippe pour la troisième semaine consécutive en France, mais une reprise reste possible au cours des semaines à venir. Régions touchées, pic, cas actuels...« , ne font »que« confirmer ce que j’avance. Les conditions météorologiques actuelles ne sont pas favorables au développement d’un épisode d’intense pollution. Et si vous »preniez le temps" d’examiner les faits, la mortalité, en lien avec les niveaux de pollution, vous sauriez que c’est la pollution qui tue les organismes fragilisés et non des pseudos-virus. 

Principe du MET : La microscopie électronique en transmission (MET ou TEM en anglais pour Transmission Electron Microscopy) est une technique de microscopie basée sur le principe de diffraction des électrons et pouvant atteindre un grossissement de x5 000 000.
Elle consiste à placer un échantillon suffisamment mince sous un faisceau d’électrons utilisé en faisceau cohérent, et de visualiser soit l’hologramme obtenu qu’est la figure de diffraction dans le plan focal de l’objectif, soit d’utiliser une autre lentille pour obtenir la figure transformée de Fourier de la figure de diffraction observable par l’impact des électrons sur un écran fluorescent ou de l’enregistrer sur une plaque photo.

La limite de résolution dépend de la longueur d’onde de De Broglie des électrons, donc de leur tension d’accélération, elle serait donc de l’ordre de grandeur du picomètre dans un cas idéal. Mais en raison des fortes aberrations elle n’est en réalité que de quelques Ångstroms.

Le microscope électronique en transmission a deux principaux modes de fonction suivant que l’on obtient une image ou un cliché de diffraction :

  • Mode image : Le faisceau d’électrons traverse l’échantillon. Suivant l’épaisseur, la densité ou la nature chimique de celui-ci, les électrons sont plus ou moins absorbés. En plaçant le détecteur dans le plan image, on peut, par transparence, observer une image de la zone irradiée. C’est ce principe qui est utilisé, en autre, en biologie, pour observer des cellules ou des coupes minces d’organes.
  • Mode diffraction : Ce mode utilise le comportement ondulatoire des électrons (onde de Broglie) (ceci est modélisé par la physique quantique). Lorsqu’ils rencontrent de la matière organisée (des cristaux), ils vont donc être diffractés, c’est-à-dire déviés dans certaines directions dépendant de l’organisation des atomes. Le faisceau est diffracté en plusieurs petits faisceaux, et ceux-ci se recombinent pour former l’image, grâce à des lentilles magnétiques (électro-aimants qui dévient les électrons).
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