« La vaccination est sûre et efficace » (contre le Covid-19) est une phrase que seule un voyageur du futur connaissant les 25 prochaines années et ayant analysé les études faites sur de grandes cohortes (vaccinés d’une part, non vaccinés d’autre part) peut prononcer.
Une récente étude cosignée (pour le fun) par A. Fauci dit explicitement que chercher à vacciner contre un virus qui mute plus vite que le virus de la grippe est pour un temps encore un vrai défi.
On a vacciné en pleine épidémie et fait deux injections de rappel contre un variant qui avait disparu, le tout avec des résultats très mitigés pour l’essentiel de la population (se souvenir que la létalité a été établi à celle de la grippe pour les moins de 70 ans).
Ce qu’on savait est que contre toute attente, ces produits se concentrent au niveau de la moëlle épinière et des ovaires et que par ailleurs on soupçonne fortement que le virus comme les vaccins à ARNm créent des lésions sublétales et peu ou pas symptômatiques chez un bon nombre de personnes.
A minima puisque ce fut une expérimentation, on devrait surveiller sur le plan cardiaque tous les vaccinés (dans nos rêves, vu l’Etat des services de santé) et probablement sur le plan gynécologique toutes les femmes en âge de procréer qui ont eu le Covid-19 et/ou le vaccin à ARNm comparé à l’échantillon témoin non « vacciné » qu’on a tellement cherché à faire disparaître...
Vu que ces produits ne pouvaient être connus comme étant sans danger (à moins de revenir de 2050 pour en témoigner) et la violation flagrante du « Code de Nuremberg » par toutes les autorités, elles ont un conflit d’intérêt majeur à regarder de près s’il n’y a pas eu d’effets indésirables suite à ces injections imbéciles (pour l’essentiel de la population, vu qu’elle n’empêchait ni contamination ni transmission).
Qui va financer les études vu que tous les pouvoirs pourraient s’avérer coupables d’avoir jouer à la roulette russe avec la santé de sociétés entières ?